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Eylork Cet utilisateur est un membre privilège

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  Publié: 11 avr 2009 à 08:29
Modifié:  11 avr 2009 à 08:32 par Lunastrelle
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Il fut un temps éperdu, où le vent murmurait ses chansons et ses vers
Que lui avaient chuchotés dans les branchages les feuilles éphémères
Il les dédiait à un être, un peu perdu dans toute cette poussière
Comme des milliards de rêves brisés flottant dans les airs
Couché sur les feuilles mortes il écoutait en regardant les nuages
Une histoire de passage, qui ne pouvait se poser un instant
Emmenant avec lui ses sombres pensées en voyage
Et essayant de la capturer, pour qu’elle devienne firmament
Il tendit sa main vers le ciel comme une silencieuse prière
Espérant pouvoir apprivoiser le faune qui jouait cette princesse
Mais l’ange qu’il invoquait restait silencieux comme les pierres
Il ne connaissait qu’à peine les fleurs violacées de la détresse
Et leur odeur insidieuse qui s’infiltrait dans les chairs
Faisaient croître Mademoiselle Mélancolie qu’il crut apaisée
Alors qu’en lui sournoisement naissait une juste colère
De ne pouvoir faire vivre juste cette légende immolée
Bannie à jamais de toutes ces âmes, de tous ces esprits
Parce qu’elle ne ressemblait aux autres chuchotis du vent
Trop différente aux yeux des gens pour faire partie de leur vie
Elle ne pouvait qu’imiter ses frères et sœurs en sanglotant
Des larmes étouffées par le bruit des hommes en colère
Il décida de se fabriquer des ailes de bois et de ciel
Pour aller capturer des fragments d’étoile polaire
Décidé malgré tout à faire vivre cette flamme essentielle
Il s’envola le cœur plein d’espoir dans la nuit claire
Craignant à peine pour la fragilité de son squelette greffé
Il respirait à plein poumons l’air pur de l’atmosphère
Enivré par la douceur des jupons dansants de la nuitée
Son vol l’emmena au-delà des déserts de sable blanc
Soudain quelque chose fit trembler son corps frêle
Il atterrit au milieu des dunes le cœur en sang
Un corps chuta à ses côtés, qu’un masque scelle
Par une clé qu’il détient dans la paume de sa main
Trouvée dans le creux houleux de ses larmes d’antan
Lentement malgré sa blessure à son calvaire il mit fin
Aux barreaux sans lumière cachant ce visage blanc
Il vit dans ses yeux la souffrance qu’elle avait connue
Ainsi il comprit qu’en tant qu’Histoire, quand elle fut née
Elle avait appartenu à un temps n’étant pas encore révolu
Et était déphasée d’avoir changé d’époque instantanée
Elle mit du temps à retrouver tous ses esprits
A comprendre qu’elle était devenue humaine charnelle
Et qu’elle pouvait derrière elle laisser le mépris
De son peuple éolien, après tout elle était mortelle
Elle pouvait désormais goûter à la vie sans tristesse
Et lui supporter le courroux de cieux outragés
Il se prirent la main tendrement avec délicatesse
Pour ne rien briser et murmurer : c’est l’histoire d’une fée…

  Aller au superflu pour couper court à l'essentiel.
James


La vie est la cruauté de la mort (James)
   
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Il y a 1 minute
  Publié: 11 avr 2009 à 14:14 Citer vertical_align_bottom

je l'avais lu avant de partir et me voilà ! vos plume sont en osmoses merci pour ce texte magnifique ce fut un réel plaisir

merci à vous deux amis de la poésie

james

  Membre de la Société des poètes Français.
okana


Plume légère, aquarelle du coeur, partager mon bonheur, sur la page de mes douceurs.
   
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30 déc 2012 à 20:18
  Publié: 12 avr 2009 à 08:14 Citer vertical_align_bottom

Un duo qui est en accord, j'ai apprécié les vers et les images qui sont dépeintes. Bravo à vous deux pour ce poème fictif..Bravo..Okana tendresse..Beaucoup de mérite...


Elle mit du temps à retrouver tous ses esprits
A comprendre qu’elle était devenue humaine charnelle
Et qu’elle pouvait derrière elle laisser le mépris
De son peuple éolien, après tout elle était mortelle
Elle pouvait désormais goûter à la vie sans tristesse
Et lui supporter le courroux de cieux outragés
Il se prirent la main tendrement avec délicatesse
Pour ne rien briser et murmurer : c’est l’histoire d’une fée…

  Nicole chaput. *Okana *...
Eylork Cet utilisateur est un membre privilège

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  Publié: 12 avr 2009 à 19:30 Citer vertical_align_bottom

Merci beaucoup Steph, j'avais un peu la même impression en l'écrivant pour tout te dire

Merci beaucoup James, merci à toi d'être venu le lire, et d'avoir laissé ce petit message.

Merci Opopop, ça fait plaisir de te voir, ça faisait un moment, que je n'avais pas vu ta plume mais j'ai pas les yeux en face des trous

Merci Hermaphrodite, je crois que c'est Eriune qui m'a emmené dans cet univers.

Merci Sophie, pas besoin de dire quelque chose, ton passage me fait très plaisir!

Merci Katia, c'est un très beau compliment que tu me fais là, parce que j'avais peur de ne pas être à la hauteur de la plume d'Eriune

Merci Amendine, content qu'il t'ait plu!

Merci Stephen, je ne sais pas si ce style est périlleux, mais en tout cas j'ai pris beaucoup de plaisir à écrire ce duo.

Merci Okana, ton commentaire me touche beaucoup.



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Lunastrelle Cet utilisateur est un membre privilège



La perfection n'est pas de ce monde.
   
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2 août à 16:00
  Publié: 15 avr 2009 à 13:13 Citer vertical_align_bottom

Merci à vous tous pour toutes vos réponses, elles continuent en quelque sorte cette légende, j'espère que d'autres seront écrites !


  Je suis comme ce temps que l'on ne remonte pas : décalée et détraquée.
Eylork Cet utilisateur est un membre privilège

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24 juin 2007
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22 août à 04:41
  Publié: 2 mai 2009 à 14:32 Citer vertical_align_bottom

Merci Rihab. j'espère aussi que d'autres seront écrites

  Aller au superflu pour couper court à l'essentiel.
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