-Des chevaux seront là, pour nous aider à fuir. Guenièvre, doucement, prit la main d’Hyppolite, N’ayant qu’une hâte, quitter ce lieu, s’enfuir. Elle avait chaud au cœur, qui battait un peu vite
Et sans aucun regret d’aller vers l’autre monde, Où elle faisait, jadis, ses premiers jeux d’enfant. Rencontres inattendues, de la forêt féconde, Dont, elle ne peut bannir, son parfum enivrant.
Les chevaux étaient là et tout alla très vite. L’émotion grandissait, elle allait être femme. Le parfum du bonheur aujourd’hui les invite Car la clé d’Hyppolite, va ouvrir son sésame.
Le pouvoir de l’amour emportait les amants Vers d’autres destinées et bien loin du château. Elle serrait dans sa main ses perles diamants Que son amour naissant, lui offrit en cadeau
Les chevaux débridés volaient sur l’herbe dense Quand la nuit commençait à rejoindre la terre. Les lucioles dans le noir faisaient comme la danse Éclairant le chemin vers un autre mystère.
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