Sous la lune lumineuse et la nuit des néons Je marche en m’allongeant Aveuglé du sommeil qui m’accable. Je ne songe qu’à la blessure du Parthénon Et comme lui je m’effondre sans jamais pouvoir dormir.
Et l’on se perd tous deux dans mon interminable somnolence Où Athéna par son manque à Périclès fait violence Pour beaucoup de Responsables cela est dérisoire Mais dans ces douces limbes se crée le sentiment Peu importe Avenir pour qui n’est qu’un enfant…
Entre l'insouciance de l'enfant, dont le jour et la nuit, parfois, se ressemblent, il y a le regard de l'adulte qui voit son passé s'éloigner plus vite qu'il ne s'en rend compte...
Divagations divines, comme un rêve éveillé, qui s'éterniserait...
Vous avez raison. C’est un dilemme de choisir entre l’angoisse de la mort et le refus de cette fatalité qui, du fait de notre longue espérance de vie, trop souvent nous encourage à la procrastination
Difficile de s'endormir sur un matelas de doute... et le rêve éveillé ne peut qu'engendrer des craintes sur l'Avenir ! Le Sentiment aide souvent à la prise de décision, il s'appelle Sagesse ou Folie... Amitiés Léo
Je ne peux qu’être d’accord avec vous, Léo, c’est si joliment expliqué ! C’est exactement ce que je voulais faire comprendre avec ces mots. Merci, Colin
Tous les textes hébergés par La
Passion des Poèmes sont protégés par les lois
de la protection des droits d'auteurs ainsi que par des traités
internationaux. Il est strictement interdit de distribuer, d'afficher
ou d'utiliser ces textes de quelque manière sans l'autorisation
de l'auteur du texte en question.