Vous voilà bien muet vous vous arrêtez là ? Et ne parlez point de ce qu'il y a plus bas
De ce mont de Vénus Caché sous les ombrages Attendant la venue D'un taiseux de passage !
Pourquoi tant en parlé, mieux vaut si arrêter, Entamer avec lui, un rapport alangui, Ou il s'offrira comme un bel orchidée, A cette bouche qui le sortira de l'ennui!
Que voilà un dessin bien tourné De quoi faire des têtes encorner
GMÉ
Merci QUOIQUIJE.....faudrait pas non plus que ça décoiffe de trop !
Citation de ori
Vous voilà bien muet vous vous arrêtez là ? Et ne parlez point de ce qu'il y a plus bas
De ce mont de Vénus Caché sous les ombrages Attendant la venue D'un taiseux de passage !
Pourquoi tant en parlé, mieux vaut si arrêter, Entamer avec lui, un rapport alangui, Ou il s'offrira comme un bel orchidée, A cette bouche qui le sortira de l'ennui!
Une bien belle réponse....il est vrai que parfois la parole n'est pas nécessaire !Merci pour ce p'tit cadeau !
Citation de M@rselO
"Vous voilà bien muet vous vous arrêtez là ? Et ne parlez point de ce qu'il y a plus bas "
Ce sont ceux qui en embrassent le plus qui en parlent le moins !
Le sang qui bout ? ça me fait penser à une contrepèterie....
Heureux de te retrouver au tableau, pour cette nouvelle rentrée où beaucoup ont choisi l'école buissonnière !
je pensais que " c'était ceux qui embrassent le MOINS qui en parlent le PLUS!!!!
je cherche je cherche .....pour la contrepèterie!
Je ne suis pas sûre d'être une élève très assidue , mais j'essaierai de venir plus souvent !
Cette confusion entre le corps et l’esprit est des plus troublantes. Votre texte est digne des plus nobles Hétaïres Corinthiennes, elle en a la grâce et la suggestivité. Me ferez-vous le plaisir de lire ‘Le corps de celle que j’aime’ je crois que vous comprendrez pourquoi j’aime votre écriture.
Oh ...j'ai eu peur ! J'ai cru un court instant que vous me compariez à une hétaïre ( si noble soit-elle elle vend tout de même ses charmes ) ( c'est un mot que j'ai déjà employé ds un de mes textes ) .....Il est vrai que je laisse passer des poèmes ne venant pas régulièrement sur le site , ils m'échappent , vs avez bien fait de me le signaler car ce corps là chanté par vous est une splendeur !
Poésie de l'interjection, ces mots installent un dialogue où le désir transparaît de l'objet, c'est à dire soi. Soi comme ode, soi comme appelant, comme un modèle qui dicterait une peinture. C'est renversant. Le pouvoir est inversé, la statue prend le pouvoir et Pygmalion se voit détroussé de ses outils.
Simplement pour dire que dans une relation les sentiments , le désir ,doivent également passer par des mots ! Donc elle l'interpelle.....et lui donne justement des outils en parlant de sa bouche qui ( ELLE ) justement formule et demande ! Contrairement au phrasé «Motus» et «bouche cousue», elle voudrait que ce taiseux prenne parfois la parole .... car elle est le guide de toutes nos actions comme de toutes nos pensées !!
Une jolie progression... tout en sensualité... jusqu'à la chute... J'aime bien le vouvoiement, une barrière qui ne demande qu'à tomber... Bravo pour ce poème très original... joliment écrit !
Du vu, du lu, de l'entendu, de l'inventé et du vécu
[citation=glycine]Une jolie progression... tout en sensualité... jusqu'à la chute... J'aime bien le vouvoiement, une barrière qui ne demande qu'à tomber... Bravo pour ce poème très original... joliment écrit ![/citation
Merci glycine ...et j'aime aussi le vouvoiement , c'est un jeu subtil entre le locuteur et son destinataire ! Bonne journée
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