Les Cosmos roses déposent une innocente Beauté, en mon regard si coutumier de la Fadeur, amie à moi; Dahlia exhala Un jour, Amour violacé, ardeur naissante, Grâce bénissante ici et là, et pour moi !
Et longtemps, j'ai croisé les élans d'Ancolie, Parfum bleu de la Vie que je crus infini, Comme un souvenir perdu, moi je les cherchais, Quand mon cœur hivernal, bleuté eut déserté; Aube naissante là et ici, et pour moi !
Marguerite de Saint Michel, est-ce le ciel, Que j'ai vu ouvrir les ailes telle la chère Hirondelle ? - mon cœur tombé sur les Asters, Se crut au haut firmament sur la Terre - Elle, Elle ! Liberté aimante, ici et là, et pour moi !
Je m'enivre à la senteur profonde, ô Pervenches, - Voici des étoiles pour moi, là, tout auprès ! Je crus voir l'Espoir me regarder, là, étanche Je crus que de joies je pourrais bien succomber, Pâmoison enivrante, partout, et pour moi !
Cléo, J'aime dans ce poème les belles caractéristiques que vous attribuez à ces fleurs.Elles nous apportent la beauté, la vie et l'infini. Amitiés sincères.
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