Il avait pris l'habitude de vivre dans le noir, Ce cœur, prisonnier dans un entonnoir, Sans oxygène, dans la nuit et sans espoir Il n'attendait rien, ne savait plus entrevoir.
Sa vie défilait morne et vide d'émotions Que même la douleur n'était qu'illusion. Oubliés les jours fastes où ses battements Faisaient vibrer les plus grands sentiments.
Il n'attendait qu'une chose, l'ultime abandon D'une vie misérable dépourvue de passions. Il était assuré que l'Amour n'était pour lui, Que la joie et la tendresse n'étaient ses amis.
Dans un corps, âpres sont les maux du cœur, Ne permettant pas de rêver la vie en couleurs. Mais l'Univers conspire à ses appréhensions, Tel un magicien il déjoue les conspirations.
Une étincelle de lumière vient percer le hublot, Libérant les battements prisonniers du cachot. l'Amour dépasse alors les frontières de l'enfer Donnant une belle raison d'aimer de concert.
" L'amour dépasse les frontières de l'enfer " Je l'espère pour beaucoup de personnes. Un écrit qui peut faire battre certains coeurs Bien amicalement ODE 31 - 17 C'est joli ce poème et si émouvant
Bonjour Rosanna J'aime bien. Voilà pour moi une belle façon de parler de l'amour. Sans amour on doute beaucoup. On se referme sur soi. Et quand il est là il nous permet de courir ... et notre coeur bat alors si vite ... Merci à toi pour ce partage Christophe
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