jolie aspiration

J'aime bien

Très joli.

ROSANNA
ton texte m'est un préambule à une curiosité que j'ai depuis 2003.

le ressenti féminin de l'acte dit d'amour, semble être comme un four de cuisinière, qui doit monter progressivement à 120°C, et aboutir à 200°C pendant quelques secondes.
les sensations d'acceptations, d'entrée violente ou progressive, de progression dans une enveloppe d'un receptacle sur équipé de vaisseaux sanguin, de terminaisons nerveuses surexitées d'un féminin tensiomètre (contractions-relachements), pour faire comme pour un accumulateur éléctrique avec des stockages de sensibilités qui finissent par une explosion, lachant des flux, et des libérations d'hormones. Le four met du temps à refroidir sans stimulations. avec des stimulations il peut revenir à 200°C plusieurs fois avec de la pratique.

pour le ressenti masculin, les sensations d'acceptations sont rapidement mises en demandes, l'autorisation est souvent vite consommée, les préliminaires sont souvent mal partagés, par manques de guidages féminin et de communications sur les désirs et les évolutions. Le chalumeau masculin monte très vite à 120°C, et sans assistances ni contrôles explose à 200°C pendant quelques secondes. l'accumulateur étant déchargé, la fatigue et le retour à zéro est souvent rapide.

pour en revenir à ton texte
L'acte d'amour est comme un acte de foi,
Il faut vraiment aimer pour que l'on y croit.
Quand vous pensez n'avoir plus rien à donner
C'est pourtant là qu'il ne faut pas déserter.

Faire l'impasse de quelques mots de tendresse,
La chaleur rassurante de vos bras et caresses,
C'est laisser au sens un âpre goût d'inachevé
Alors qu'on rêverait un moment de douce finalité.

la vague de réactivité féminine est pleine de tabous d'expressions sur cette réalité physiologique.
les besoins de retraites masculines pour comprendre les richesses du partage sont trop souvent ridiculisées pour éviter d'y réfléchir.

qui oserait consacrer quelques mots sur ces non exprimés.

Merci Mido, La Brune Colombe et Adamantine, pour vos lectures et appréciations.

Sam, ton explication n'est pas très poétique, j'ai du mal à me comparer à un four de cuisinière (rires), cela dit j'ai bien compris, mais je ne parlais pas de l'acte lui-même mais de la tendresse qui suit.
La tendresse Sam, les hommes, en général, ne semblent pas comprendre que la tendresse après, est ce qui fait que l'acte est complet, c'est pour cela que je parle de "douce finalité".
Merci Sam, bonne journée.

Rosanna

Lipstik Cindy, je vois pas le rapport.....

Rosanna

j'ai en cours de créations et de collectages sur le thème (dilemme entre "consommation et communion") un dossier qui ne sera jamais terminée
la communion se vivant en 3 étapes;
la négociation (en choix, partages, limites)
la réalisation (en respects des engagements, par rapport aux attentes de l'autre, de la finalité envisagée)
l'évaluation (en regards sur les ou non vécus, ce qui peut être amélioré, les douceurs d'accompagnements)
les invisibles (dans les décompressions ensemble, dans les temps de silences, les écoutes et les essais de formulations sur les ressentis individuels et en commun)
ces consommations ou communions, sont valables pour tous les types de partages. les vivres ensembles, les vies sociales, les respects des autres dans leurs différences la dite laicité, dans les évolutions dites humanisées.
milles excuses pour mes perceptions masculines.

Merci Sam pour cette explication scientifique.
Les uns diraient que les hommes n'aiment pas et/ou ne savent pas parler de leurs émotions et sentiments, alors que les femmes sont à l'aise dans l'expression et l'analyse.
D'autres, que l'homme dépense plus d'énergie que la femme d'où son endormissent immédiat.
C'est pourtant pas grand chose qu'un peu de tendresse...
Merci pour ta réponse.

Rosanna

Lipstik Cindy

1° Je ne compare pas la politique à un acte d'amour
2° Je ne vois aucune "belle" performance à la manipulation
3° Son effervescence c'est du vent
4° Et la "finition" n'est pas difficile à prévoir.

Bonne journée.

Rosanna

beaucoup considèrent que les perceptions des hommes semblent être égoistes, alors que celles des femmes aimeraient des formes de reconnaissances et d'accompagnements.
un homme à besoin d'être guidé et non de se faire subir en dominateur.
il ignore de lui même ce que represente le refroidissement progressif du four de la cuisinière féminine. deux femmes entre elles savent rendre honneur à ces formes de partages.
un homme comme l'ours par rapport à l'oursonne, une fois reconnu différent et guidé pour être present jusqu'au bout du partage, apprendra à dialoguer, à maitriser ses abandons, à s'informer de l'élévation de la température du four féminin. pour que les 200°C se produisent en même temps, et pour que la présence d'attentions du chalumeau éteint soient là tant que le four féminin en aura la reconnaissance. ces genres de partages se font à deux, dans de réels accompagnements. l'ours mal aimé, deviendra un agneau pour l'oursonne.
c'est souvent une question d'avant la caverne masculine,et d'accélération pour atteindre le fond du puits féminin, pour une nouvelle ascension de la vague d'euforie féminine... oui c'est compliqué, j'attends vos demandes d'explications.

Oh là là Sam ! Qu'est-ce que tu vas chercher là !
Mon aspiration féminine elle est toute simple, après l'amour, nous les femmes on aimerait un moment de tendresse, c'est tout !
C'est aussi simple que ça, tendresse ne veut pas dire sexe !
Je ne sais pas si vous, les hommes, savez ce que le mot tendresse veut dire... et mon poème parle de tendresse et non de sexe.
Bonne journée Sam.

Rosanna

Très joli !

Merci Orchidée.

Bonne journée

Rosanna