ils gisaient inertes sous l'étendard lacéré Avec sous les paupières la mort d'un passé Vécu debout sur l'horizon, à parodier le funambule Pour le soupir d'un dernier brillant de crépuscule.
La lune à terre J'allais hanter leurs tombeaux Voir leur larmes rougies prisonnières Sous un œil clos.
les volutes de fumée s'échappaient Du dernier souffle de la paix. Criant la fin du silence, L'amer triomphe de la vengeance
Et le son de l'ombre restait sans échos Lorsque je leur fredonnais la berceuse du chaos Comme la flamme de leur bougies mourraient Quand les étoiles s'étreignaient.
J'aurais suspendu leur vie aux barbelés Le cœur plein de songes funèbres, glacés J'aurais fait s'échouer les nuages. Pour un dernier hurlement de rage.
Entendre un tir dans le vide de leur cris. Imaginer leur drapeau tomber sans bruit. Voir ces rivières courir si froidement Lorsque j'y déverserai des torrents de larmes et de sang.
Et un homme sur la croix Et la croix sur vos cœurs.
merci beaucoup naej, te voir ici, toi dont j'aime tellement la poésie... vraiment tu ne peux pas savoir comme je suis contente!
appasionata, vraiment de très sincères mercis. c'est bateau mais je le pense...
domi, domi.... . merci à toi. vraiment, je suis heureuse que ce texte t'ai touché. et te voir au bas de mes lignes... c'est toujours un plaisir immense. j'tembrasse poète.
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