Je languis de la voir Le feu sous la cendre Elle me fait attendre Elle se fait attendre Et allez donc ! Je vais encore l'attendre
Va-t'en humeur noire Je ne veux pas le savoir La fidélité au serment Passait tout bonnement Pour un devoir
Mon coeur et moi sont acolytes de toujours C'est un peu court qu'un accord on se partage mal pétrin et joie
voilà une heure qu'on attend elle nous impatiente cette fille revoir cette fille me suffit j'en ai pris mon parti je dédaignerai de culte Tous les irrésistibles printemps toutes les beautés séduisantes
un amour au carré Je l'aimais, je l'adorais je me demande en tout cas ratait-elle l'épisode La toujours belle ma dulcinée si elle savait de longtemps je l'attendais désemparé
je regardais ma montre je perdais patience des longs moments passent va-t-elle me faire encore attendre ?
puis quand soudain il a cessé de vaser Déroulant son écharpe d'iris Comme une femme nue Le soleil apparu hésitant emprunté je regardais d'un air obtus autour je faisais du paysage mon délice soudain, j'ai senti sa main sur mon épaule se poser
Les arts sont l'entremetteur qui nous fournissent des occasions très naturelles de deviser de tout et de rien.
Je le découvre maintenant ce poème et j'aime cette attente que tu nous décris avec autant d'impatience, une main sur ton épaule et c'est déjà le suspens de ce qui va suivre... J'ai pleinement apprécié Bien amicalement ODE 31 - 17
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