Tu étais où, dis-moi Quand je te cherchais Tu étais où, dis-moi Quand tu voyageais Dans les brumes de tes pensées Et dans tes paradis gelés Tu étais où, dis-moi, tu étais où
Moi, j’étais là, à frôler ton cœur Moi, j’étais là, humant tes odeurs Perdue dans les secrets fous De tes chimères sans dessus dessous
Tu étais où, dis-moi Quand ton âme vagabondait Tu étais où, dis-moi Quand je me perdais Sur ces chemins de traverse Seule sous les averses Tu étais où, dis-moi, tu étais où
Moi, j’étais là, imaginant ton rire Moi, j’étais là imaginant le pire Tremblante sous tous ces éclairs Passe et impair, en manque de ton air
Tu étais où, dis-moi Quand tu partais ainsi Tu étais où, dis-moi Quand tu me laissais transi Errant sur ces bitumes Les paupières en enclume Tu étais où, dis-moi, tu étais où
Moi, j’étais là, à frôler ton cœur Moi, j’étais là, humant tes odeurs Perdue dans les secrets fous De tes chimères sans dessus dessous Moi, j’étais là, imaginant ton rire Moi, j’étais là imaginant le pire Tremblante sous tous ces éclairs Passe et impair, en manque de ton air
"Tu étais où, dis-moi Quand tu partais ainsi Tu étais où, dis-moi Quand tu me laissais transit Errant sur ces bitumes Les paupières en enclume Tu étais où, dis-moi, tu étais où"...
C'est très beau et très touchant....j’aime beaucoup ...
"Moi, j’étais là, imaginant ton rire Moi, j’étais là imaginant le pire Tremblante sous tous ces éclairs Passe et impair, en manque de ton air"... Bien vu dans la peau d'un personnage féminin (ou je me trompe)...beau texte d'interrogations...demandent-elles vraiment des réponses à celui à qui elles sont adressées ?
Amitiés Riagal
"C'est avec la tête qu'on écrit. Si le coeur la chauffe, tant mieux, mais il ne faut pas le dire. Ce doit être un four invisible." Gustave Flaubert -
Il est toujours délicat de se mettre dans la peau d'une femme pour vous les hommes tout comme nous les femmes envers les hommes quand aux pensées subtiles chacun(e)s de notre vision des choses de la vie encore que si nous sommes à l'écoute les uns des autres, nous finissons par être sur la même onde et en fin de compte avons beaucoup de points communs... Sans doute cela est-il dû aux origines patriarcales ou (matriarcales en certains pays, ce qui est assez rare, reconnaissons le...)... Merci toutefois pour cet envolée pour celle qui vous entraîne en de si beaux voyages en votre coeur !
Très beaux vers que j'ai lu avec émotion. Ecrits, tu dit, pour une chanson qui sera interprétée par une femme... mais ce sont des sentiments qui pourraient être ressentis au masculin aussi, j'en suis certaine. Quand je pense à la terrible blessure qu'un cœur peut ressentir à ces moments, il me vient à l'esprit cette superbe chanson de Julien Clerc:
"Je s'rai jamais distrait, distant, cruel Pour qu'tu sois belle..."
mais là, c'est un chien qui parle à sa maîtresse (dans le clip en tout cas...)
Merci pour vos commentaires auxquels je suis très sensible Effectivement Lise, il peut se déclamer au masculin sans aucun problème On verra ce que ce texte va devenir Mes amitiés Thierry
Relations à deux ou l'un aime toujours "mieux" que l'autre : les rencontres sont toujours difficiles. On donne, on ne partage pleinement que rarement... Pierre
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