J'ai rêvé cet été Un jour, un cinq juillet Que tu serais le blé De ma vie enchantée
Il me manque ton arôme Le pétale de ta rose La saveur de ta soie Qui émane de toi
Refrain
Tu manques à mon décor Qui pourtant est en or Pour nourrir mes caresses Sur ta peau allégresse Tu manques à mon décor Qui pourtant est en or Pour nourrir mon désir Dans le pic du plaisir
J'ai dû m'coller les pieds Dans ta glu adulée Je ne peux plus sortir De ta vie, de tes rires
Les notes de ton solfège Au creux de mon oreille Ont le son d'une sirène Que j'entends arc-en-ciel
Refrain
Quand tu portes la blessure De la vie sans tes murs T'es à côté de tout À côté du bijou
Quand tu vis à moitié De ta vie sans bébé Tu deviens un hibou Sans le cœur du caillou
Refrain
Qui est apothéose Un diamant, autre chose Qui a creusé tes reins Vers le bleu du satin
Je bois le bleu des îles Avec toi il défile Dans ma tête tous les jours Il défile mon amour.
Oui effectivement à faire fondre un cœur glacé.... Tellement mélodieux Et vos mots qui pixelisent des images splendides devant nos yeux éblouis
Tu manques à mon décor Qui pourtant est en or Pour nourrir mes caresses Sur ta peau allégresse Tu manques mon amourette À ce cœur de noblesse Pour nourrir mon désir Dans le pic du plaisir
Merci Dayân de la mise en partage de ce très beau poème. Bien à vous actuaire.
« La véritable amitié commence quand les silences ne pèsent plus. » Romain Werlen.
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