Été, symphonie assoiffante à l'appel d'Éros Survient la nuit, je plonge dans le cosmos Me vient alors le souvenir de son corps Mes plaintes et mes pleurs se font pléthore.
Que vienne l'automne, jolie démesure À la folie des arbres qui me susurrent De leurs feuilles tombant à mes pieds L'horizon, de sa couleur lui va comme il sied
Hiver, malheureuse contrée de larmes glacées Que pourrais-tu lui dire en toute amitié ? Que le froid secret sans fin de son absence Jalouse la sordide tiédeur de mon errance ?
Printemps aux saveurs de marguerites Qui fait que la fraîcheur m'habite Fait de moi son éternel preux chevalier Car c'est ainsi que je veux lui être lié. .... . A jamais...
Sur la musique de VIVALDI, c'est ce qui donnera encore plus de charme à ton beau poème... J'ai apprécié, en toutes saisons l'amour peut-être présent Bises amicales ODE 31 - 17
Pardonne moi pour cette réponse un peu tardive Sybilla. Toujours un peu pris, et je me mélange les pinceaux entre mes parutions et mes réponses. Et oui, aux saisons qui passent et tracent leurs chemins.
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