Dans l’orage tu colores la pluie


Je te sens là quelque part

Du bout des doigts
Ta silhouette

Une voix
Presque
Juste là
Et puis plus rien

Le vent arrêté net
La pluie suspendue dans sa chute
Au premier souffle,
J’invente tes yeux
Au deuxième, le reste du monde.


et puis j’ouvre les paupières
L’espoir gravé sur la rétine
Comme un soleil dansant sur l'eau
Qui brode ton nom dans la lumière

Voilà qui tranche avec la banalité de beaucoup de poèmes d'amour et mérite bien un coup de coeur.
Cordialement,
Marcel.

Rien à dire... Il fait sourire celui-ci... On ne sait pas trop pourquoi.... Juste peut-être pour les sensations qu'il procure...

Belle traduction d'instants...

Salut à vous quatre! Je suis content qu'il vous ait plu. Je l'ai écrit avec le sourire

Lilia, j'espère que l'automne pourra malgré tout te montrer sa beauté! C'est de belles choses que t'as écrites là, merci beaucoup. Ça fait toujours plaisir de voir tes mots sous mes textes. J'ai du mal à comprendre ta petite phrase en italien, par contre...

Merci Marcel! Eh bien c'est un amour peu banal il faut croire. J'ai beaucoup d'espoir

Éric, ah! ça me fait vraiment plaisir de lire ça. merci beaucoup

Merci Chris, je sens que cette histoire a un je ne sais quoi aussi ^^ Tout est possible maintenant je le sens.


J'avais peur de ne pas pouvoir écrire lumineusement. D'avoir été trop longtemps dans la noirceur. Ce n'est pas vrai, il faut croire.

Merci à vous et merci à.. elle

Titre très inspirant...

«Au premier souffle,
J’invente tes yeux
Au deuxième, le reste du monde.»

J'adore les images...
Merci pour ce partage de sentiments!

Daph à la rose

J'aime beaucoup tes mots merci du partage

Le titre m'a attiré, et je trouve ton poème très bien écrit... J'ai particulièrement aimé l'avant-dernière strophe.

Amitiés