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18 juin 2008
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26 mai à 22:26
  Publié: 19 oct 2010 à 11:56 Citer vertical_align_bottom

Qu’il fait bon les matins
où tu m’apportes de la myrrhe pour les étrennes
où tu déposes, délicate
une couronne d’épines sur le lit
louant un jeune prince
de mille ans mon aîné.

Qu’il fait froid les jours
où tu défais le pain
qui renaît levure, farine, sel et eau
et ne se reconnaît plus comme sacré
où les minces tilleuls gris
font écho à qui veut les embrasser
où l’on fête
et joue les noces du malade et du mort
sur une nappe grande et molle et terrible comme une mer
comme une vague-monde
où je te donne le droit
d’être un peuple ou vaillant ou lâche.

Qu’il fait bon les matins
où nous n’avons
pour fenêtre qu’un poème, pour île qu’un goût de sang
pour école qu’un sentier
pour père qu’un rouge-gorge blessé dans un jardin
où nous n’avons
pour psaume que la mémoire
pour baptême
que l’oubli blanc
qu’il fait bon les matins nus
où tu dors sans faim – où tu es crainte des heures pâles et innocentes

 
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