Mes mains sont si petites que je ne saurais capturer le voile dont le temps t’a vêtue ce châle religieux, pourpre inouï qui me rappelle au silence et à l’attente de ta venue à ce Toujours soudain, furieux, inapte au mouvement. La nuit roussit toute chose et dresse tresse ces murs épais comme un cheveu d’absence entre nos paroles ignorantes entre nos chevets de jour où la lumière semble être de trop et hurle pourtant le besoin, l'envie la puissance de nous perdre
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