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Colin Escot


« Ce n’est pas le doute, c’est la certitude qui rend fou » Nietzsche
   
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5 sept à 19:22
  Publié: 5 mai à 21:20 Citer vertical_align_bottom

Le Sable est d'or et le soleil de sang

Le sable est d'or et le soleil de sang
Une fois encore j'arrache tes larmes
Et je sèche ton cœur
Je cours sur la plage
Et cri contre la mer
La nonchalance d'un enfant
Qui à la guerre marche sans arme.

Le Soir amalien

Aux amares récif verdurien des contrées amalupes
Noirs faisceaux arthuriens aux vents sectaires
Propice agitation des rythmes sublunaires.
Les eaux vitreuses du soir amalien
Tombent d'une fine robe, glaives riboisés
Une densité d'astana étiolée des parrages
Dans un homme cheminé lentement affamé.


Les Oiseaux qui nageaient dans l'azur des cieux

Les oiseaux qui nageaient dans l'azur des cieux
Fondent en larmes près de tes yeux
Bleus, comme mon corps, moi aussi j'ai l'aile cassée.
Une voix sans arme glace le temps passé
Ensemble, toujours, même sans dieux.

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Marco
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  Publié: 6 mai à 02:01 Citer vertical_align_bottom

Trois beaux petits textes, je préfère les oiseaux

 
Bella de Vnirfou


Le bonheur à quatre (pattes).
   
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  Publié: 6 mai à 04:51 Citer vertical_align_bottom

Très surréaliste !
Comme vous vous dissimulez sous le masque de Magritte, ça n'est guère surprenant.

  On se tuméfie jamais assez.
Philippe MANGOT
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  Publié: 6 mai à 06:35 Citer vertical_align_bottom

Très belle écriture avec pour moi aussi une préférence pour les oiseaux.
Philippe.

 
doux18

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  Publié: 6 mai à 06:43 Citer vertical_align_bottom


Bonjour Colin,

Trois très beaux poèmes, ma préférence va au premier avec ses images fluides et limpides.

Amicalement,
Pierre-Emmanuel

 
Colin Escot


« Ce n’est pas le doute, c’est la certitude qui rend fou » Nietzsche
   
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  Publié: 6 mai à 09:37 Citer vertical_align_bottom

Merci beaucoup à vous quatre pour votre retour.

A bientôt !
Colin

  Critiques encouragées
ode3117

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Il y a 3 minutes
  Publié: 6 mai à 13:59 Citer vertical_align_bottom

Trois beaux poèmes, mais en tant que ex CIGOGNE, j'ai un faible pour les oiseaux.
Bien amicalement ODE

  OM
rimarien
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Bannir en poésie comme antan on brûlait les hérétiques
   
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Il y a 5 minutes
  Publié: 7 mai à 07:53 Citer vertical_align_bottom

Bonjour Colin

J’aime le 1er et le 3 , le 2ieme m’horripile ou alors quelque chose m’échappe, j’ai franchement l’impression d’un concours ou le but c’est de placer le maximum de mots rares au mm2.
Amicalement
JC

  Bannir en poésie comme antan on brûlait les hérétiques
Colin Escot


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  Publié: 7 mai à 08:44 Citer vertical_align_bottom

Merci Ode, je suis Alsacien, alors les cigognes m'inspirent beaucoup de bonnes choses.

Merci beaucoup Rimarien pour votre critique, j'apprécie sincèrement. Pour vous répondre, les mots que vous trouvez compliqués sont simplement inventés ! D'autres sont simplement mal utilisés comme "Astana" qui veut dire "Capital" en kazakh et qui est aussi le nom de la capitale de ce pays ("Sublunaire" vient d'Aristote, j'avais depuis longtemps envie de l'utiliser)

J'ai essayé avec ce deuxième poème de transmettre un paysage, une émotion à partir d'un apparent non-sens. C'est la première fois que j'utilise ces inventions qui sortent complétement de mon style habituel et je comprend cette impression de concours que vous avez eu, vous n'êtes pas loin, c'est celui que j'ai le plus travaillé des 3 et il n'a pourtant rien d'original, ce n'est qu'une pâle expérience surréaliste.

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rimarien
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Bannir en poésie comme antan on brûlait les hérétiques
   
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Il y a 5 minutes
  Publié: 7 mai à 11:47 Citer vertical_align_bottom

Merci Colin pour tes explications, j’apprécie,c’est rare les gens qui acceptent la critique sache que ça ne peut être que réciproque .
Amicalement
JC

  Bannir en poésie comme antan on brûlait les hérétiques
ATLAS
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L'amour est ma lumière...
   
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  Publié: 11 mai à 04:27 Citer vertical_align_bottom

Moi, j'adore les trois poèmes à la fois. En outre, j'ai enrichi mon vocabulaire.
C'est un plaisir de te lire.
Amicalement
ATLAS

 
Anna Veil


La vie est absurde, autant la décrire.
   
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  Publié: 13 mai à 09:28 Citer vertical_align_bottom

Trois poèmes qui ont chacun leurs particularités. Je décèle chez vous une part de sensibilité et de douceur insoupçonnée jusqu'alors. C'est doux, ça fait du bien et s'inscrit tout à fait avec la fin du printemps.

Merci pour ce joli moment passé à vous lire.

Amicalement,

A.V

 
Colin Escot


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  Publié: 14 mai à 11:28 Citer vertical_align_bottom

Merci Atlas et Anna d'être passés. Vos mots me touchent.

Colin

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