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Gleiten


Il faudrait pouvoir peindre les faces de l'invisible et écrire les paroles du silence
   
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  Publié: 6 oct 2022 à 07:25
Modifié:  7 oct 2022 à 14:05 par Catwoman
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Il recula son gros cul
Là, à l'endroit de la cuisse de bergère
D'un goulot, de gens connus ou inconnus
Devant les fleurs du château des joyeux compères.

L'avenir sera cette grande fantaisie
Qui monte jusqu'au ciel
Habités par des bretelles et des poussettes
Au parc plastifié, aux bancs des canettes.

Commun
Comme un tsunami de pelleteuses
Cailloux remués par l'engin
Des terrils, pour la fondation des demandeurs.

Les tas des lieux
Du sable, du ciment
Tournés dans la toupie, des envieux
Pour ratisser la campagne envahissante.

Les arbres ont toussé, se sont couchés
Définitivement
Le malade est passé
Pour transmettre sa fièvre du déracinement.

Très vite ça change
On oublie le charme d'antan
Du trou normand
Des crêpes et du cidre du bon vivant.

Les oiseaux se sont envolés
L'homme devant les gravats a rigolé
Clope au bec, appuyé sur la grande roue
Un point c'est tout.



 
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