Merveille des ténèbres, fantaisie fourbe, Je parcours le long de ta plus belle courbe La plus apaisante de toutes les caresses, Il ne reste plus que la délicatesse.
Mon coeur épuré chante avec les éclairs À mon âme s’apparentant à Cerbère, Le calme retentit depuis les bas fonds, Retenant toutes les abjectes accusations.
Dans ce champs moutonné de multiples fleurs jaunes, Mes pensées virevoltantes ne cessent plus, En boucle dans la métronomie monochrome, Les chrysanthèmes indiquent qu’ici il a plu.
Le béton froid n’a plus réellement d’odeur, Si ce n’est celle de l’absence de tes mots, Un regard vers l’azur réconforte mon coeur, Et rien ne sait égaler cet éternel beau.
C'est joli à lire et relire en attendant l'hiver. Ce regard vers l'azur rassemble bien des sentiments. Merci pour ce très bel effet Bien amicalement ODE
C'est joli à lire et relire en attendant l'hiver. Ce regard vers l'azur rassemble bien des sentiments. Merci pour ce très bel effet Bien amicalement ODE
Merci pour votre commentaire Ode, qui me fait comme à son habitude plaisir !
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