Je connais les mille tribulations Perdu dans des ramifications de l’enfer Les démons me mordent, injectent leur poison En moi perdure un brin de lumière
Des machines des vaisseaux monarques Des Hommes ou encore des cloportes La bête sur mon sexe a laissé une marque Sur des trônes Bélial et sa cohorte
Le chevalier d’or n’a pas perdu sa clarté Sa douleur n’est pas apparente Morteüs par ses adversaires impactés L’agonie est douloureuse et lente
Une puce dans le cerveau Je suis le jouet des puissants Ils voulaient mon monde moins beau Le bonheur est absent
Je n’ai ici aucuns droits Juste celui d’attendre Dans ce couloir il fait si froid Mes rêves d’androïde vais-je atteindre
Je me bats du mieux possible Et mes squatteurs rayent le parquet Être fort, c’est être inadmissible De l’argent facile ils sont les valets
Face à un mur tellement épais Quelque part chez Hadès Mon poing travaillé comme une épée Morteüs progresse
Je rejoindrais Avalon Le territoire des dieux Dans cette guerre bien plus qu’un pion Ma quête, le royaume des cieux
Bonjour Yvon, avant tout merci pour le commentaire, des guerres il y en a et il y en a toujours eu, mais lorsqu'on se sent écouté et compris c'est tellement mieux...
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