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Anna Veil


La vie est absurde, autant la décrire.
   
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  Publié: 2 mars 2022 à 03:57
Modifié:  2 mars 2022 à 07:48 par Emme
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Réflexe pilomoteur


L' ardent fourmillement le long de la colonne
d'un édifice martelé en continu,
par l'usure de cette cloche qui détonne,
d'un attrait ne se voulant plus être ambigu.

L'écho égaré de l'antre grandit ce creux,
qui descend avec une lenteur déconcertante,
dans ce qui paraît être un néant heureux,
porté par Coré, maîtresse de cette attente.

C'est de ce ressentiment, face à cette foule,
que des pétales tombèrent de leur douleur,
ainsi que des perles salées qui s'écoulent.

Il n'y avait la moindre place pour un cœur,
le même qui se fait pourchasser par le loup,
celui qui se déchirait dans un but jaloux.

 
samamuse
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l'important ce n'est pas le bruit c'est de savoir d'où il vient
   
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8 mars à 05:58
  Publié: 3 mars 2022 à 10:55 Citer vertical_align_bottom

bonjour et merci MATAVIE,
je n'ai pas tout compris.

Il n'y avait la moindre place pour un cœur,
le même qui se fait pourchasser par le loup,
celui qui se déchirait dans un but jaloux.

sois gentille, peux-tu m'aider à le faire entrer dans mes compréhensions.

bisou de SAM

 
Anna Veil


La vie est absurde, autant la décrire.
   
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13 mai à 09:45
  Publié: 5 mars 2022 à 04:46 Citer vertical_align_bottom

Citation de samamuse
bonjour et merci MATAVIE,
je n'ai pas tout compris.

Il n'y avait la moindre place pour un cœur,
le même qui se fait pourchasser par le loup,
celui qui se déchirait dans un but jaloux.

sois gentille, peux-tu m'aider à le faire entrer dans mes compréhensions.

bisou de SAM



Bonjour Sam,
Durant ce poème, je parle des frissons qui sont causés lorsqu'on est triste, d'où l'évocation du cœur, qui n'"avait la moindre place" qui fait référence ici à un cœur serré par la peine, le chagrin, le vide.

En ce qui concerne le deuxième vers de ce tercet, l'évocation d'un cœur qui se fait pourchasser par le loup fait écho au grand méchant loup que j'ai ici associé à la peur, et donc que ce cœur serait pourchasser par cette peur qui l'envahit dûe notamment au fait qu'il n'ait plus de place.

En fin, le dernier vers de ce poème relate aussi du cœur, avec "celui" auquel il fait référence. Il "se déchire dans un but jaloux" explique pourquoi le cœur "n'y avait la moindre place" car il est en réalité détruit, ici "déchiré" par une jalousie mal placée pourrait-on dire, et explique en réalité tout le poème et le pourquoi ici, les frissons sont là et envahissent le corps.

J'espère que vous comprendrez le fond de ma pensée, mais il est vrai que ce n'est pas le poème le plus limpide que j'ai écrit jusque là et qu'il méritait sûrement des explications.
Merci pour ce commentaire qui pourra sûrement aider lors de la lecture de "Réflexe pilomoteur"

Amicalement,
Matavie

 
actuaire
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Dessine tes douleurs dans le sable et grave tes joies dans le rocher... Lao Tseu
   
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Il y a 1 minute
  Publié: 10 mars 2022 à 04:46 Citer vertical_align_bottom

Bonjour Matavie,

Ma première visite sous vos lignes poétiques.

Oui en effet ce poème est plutôt hermétique en tout cas au premier abord.

Déjà le titre laisse rêveur.

Il arrive que le coeur, moteur du vivant humain ou animalier, s'accélère et s'emballe pour mille raisons.
Souvent déclenché par une overdose de sentiments et autres émotions extrêmes.

Le coeur ou dans un langage plus moderne la pile de notre moteur. En argot du moyen âge on disait le pilomoteur !!

Quand cette pile devient jalouse, elle perd immédiatement en efficacité, car la jolousie, c'est bien connu, va à l'encontre de la raison d'être fondamentale de cette pile qui veut aimer, respecter, tolérer, admirer, jouir, etc.
Et ce coeur devenu jaloux se grippe, et n'a plus sa place dans cette colonne verticale.

Oh triste jalousie, crime de lèse majesté d'un coeur aimant

Bien à vous Matavie,
Amicalement,
Actuaire






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Colin Escot


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  Publié: 15 mars 2022 à 18:23 Citer vertical_align_bottom

Citation de Matavie
L' ardent fourmillement le long de la colonne
d'un édifice martelé en continu,
par l'usure de cette cloche qui détonne,
d'un attrait ne se voulant plus être ambigu.



Merci pour le poème.
Intéressant l'analogie entre le corps et l'édifice (une église peut-être) où le coeur est annonciateur sans prévenir, comme les cloches, du malheur ou du bonheur.

  Critiques encouragées
Anna Veil


La vie est absurde, autant la décrire.
   
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13 mai à 09:45
  Publié: 17 mars 2022 à 13:27 Citer vertical_align_bottom

Citation de actuaire
Bonjour Matavie,

Ma première visite sous vos lignes poétiques.

Oui en effet ce poème est plutôt hermétique en tout cas au premier abord.

Déjà le titre laisse rêveur.

Il arrive que le coeur, moteur du vivant humain ou animalier, s'accélère et s'emballe pour mille raisons.
Souvent déclenché par une overdose de sentiments et autres émotions extrêmes.

Le coeur ou dans un langage plus moderne la pile de notre moteur. En argot du moyen âge on disait le pilomoteur !!

Quand cette pile devient jalouse, elle perd immédiatement en efficacité, car la jolousie, c'est bien connu, va à l'encontre de la raison d'être fondamentale de cette pile qui veut aimer, respecter, tolérer, admirer, jouir, etc.
Et ce coeur devenu jaloux se grippe, et n'a plus sa place dans cette colonne verticale.

Oh triste jalousie, crime de lèse majesté d'un coeur aimant

Bien à vous Matavie,
Amicalement,
Actuaire

Je suis contente que vous ayez débusqué les pensées de ce poème. La maline jalousie joue des tours à notre cœur, c'est en cela qu'il faut savoir la contrôler.




 
Anna Veil


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13 mai à 09:45
  Publié: 17 mars 2022 à 13:30 Citer vertical_align_bottom

Citation de Colin Escot

Citation de Matavie
L' ardent fourmillement le long de la colonne
d'un édifice martelé en continu,
par l'usure de cette cloche qui détonne,
d'un attrait ne se voulant plus être ambigu.



Merci pour le poème.
Intéressant l'analogie entre le corps et l'édifice (une église peut-être) où le coeur est annonciateur sans prévenir, comme les cloches, du malheur ou du bonheur.



L'édifice ici n'est pas en soit une église, il représente le bâtiment, les fondations que nous sommes en tant Être et de comment nous nous représentons. Heureuse qu'il vous ait plu

 
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