En quoi vais- je colorier la blancheur de la feuille Aux tréfonds de mes pensées assise sur le seuil De ta vie enlevée, arrachée de mes aigles étendus Tu es parti, je me suis accrochée à ces vers tant relus
Comment vais-je caresser les chiffres et les lettres De ces dires larmoyés du sang de ton encre L’hymen stérile que ton départ engendre A réduit le prétérit à « ne plus être »
J’aurai aimé verser quelques vers Sur ton sourire promettant, ne promettant rien Qui d’un coup s’égara dans cet univers Croisant mon imagination qui vagabonde bien
J’aurais aimé m’honorer de toi qui dors les yeux éteints et le teint ivre mort J’aurais tracé les cicatrices de ton corps Que je tatouerais sur le miel de mes pores….
Même si j’écris pour plutôt ne pas laisser Naître aucun vide dans un cerveau blessé Il est temps de libérer mes plumes multicolores Attachées à des feuilles stériles et incolores
Quelle joie de lire ton texte ,je lai lu avec tant de plaisir mais je ne suis pas d'accord ,et là je rejoint notre ami Draniel,les lettres ,les mots ne sont jamais morts ,ils sont là pour partager et vivre nos maux et conjurer nos émotions et plus ils immortalisent nos sentiments quoique ce soient leurs natures
Merci pour ce partage mes amitiés
ceux qui ont connait les tenebres apprecient la lumière
Quelle joie de lire ton texte ,je lai lu avec tant de plaisir mais je ne suis pas d'accord ,et là je rejoint notre ami Draniel,les lettres ,les mots ne sont jamais morts ,ils sont là pour partager et vivre nos maux et conjurer nos émotions et plus ils immortalisent nos sentiments quoique ce soient leurs natures
Merci pour ce partage mes amitiés
Merci de ton commentaire. Heureuse de t'avoir procurée ce plaisir Pris dans ce sens, les lettres ne meurent jamais qu'avec l'intention de leurs auteurs... J'ai voulu qu'elles le soient d'ailleurs afin de pouvoir libérer ma plume....Ce ne sont pas les lettres qui soient mortes mais la tristesse qu'elles traduisent.... Amicalement, Sandi. Bisous
J’aurai aimé verser quelques vers Sur ton sourire promettant, ne promettant rien Qui d’un coup s’égara dans cet univers Croisant mon imagination qui vagabonde bien
J'aime ces verses en particulier...mais je dois avouer de ne pas le comprendre bien... Mais ça c'est le charme de la poésie :ineffable et pourtant...effective!
Tuer une tristesse pour laisser son imagination partir à la recherche des terres vierges, éclatantes de blancheur, sur le support de son attente... que ce soit une feuille, une personne, l'envie se trouve présente... une plume ressuscitant son encre.
J'ai aimé m'y plongé Merci du partage Amitiés Pascal
Tuer une tristesse pour laisser son imagination partir à la recherche des terres vierges, éclatantes de blancheur, sur le support de son attente... que ce soit une feuille, une personne, l'envie se trouve présente... une plume ressuscitant son encre.
J'ai aimé m'y plongé Merci du partage Amitiés Pascal
Toujours ravie de te croiser à travers mes lignes. Merci Pascal de ton passage et de ton commentaire. bisous
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