Mon automne à flots liés, qui es-tu sans tes fils ? Mon ami voyageur et pour peu voyagé À ton fer des sillons mais à tes yeux des cils Reconnais-tu, dis-moi, ce que tu as forgé ? C'est une oeuvre, dit-on, que de vivre sa route Et pourtant, mon enfant, que de routes semblables Sur le peu d'un couteau qui lui-même a ses doutes J'avais besoin, je crois, d'un doute plus palpable Écrivant sur nos bras ce qu'on ne vécut point Laissant perler la vie dans son habit de bal Et puis serrer les yeux et les poings un peu moins Et dans ma gorge à pic, la lie d'un point final.
Qu'il est bon de te lire... et l'émotion est toujours là... merci !
On a tous une Némésis en soi. La différence entre l’optimiste et le pessimiste, est que ce dernier la conçoit quand le premier ne fait que l'entrevoir sans jamais l'affronter...
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