Vite, dans son chaudron en ébullition il a mis un bon zeste d’islamophobie, des mensonges à répétition, un soupçon d’imprévisibilité, des narcisses à gogo et des lames de couteau, des mûres mexicaines, bien-sûr, car il était inspiré et, pour relever le goût, il a balancé un courant discriminatoire en malaxant le tout au rythme de tweets inflammatoires. Ah, j’allais oublier, il a aussi ajouté une cape d’invisibilité parce que quand même il avait un peu forcé la dose et il avait peur que personne ne boive son breuvage ; et il a assaisonné sa mixture d’une garniture de xénophobie et de décrets à tire-larigot pressé qu’il était d’entrer à reculons à grands pas dans l’histoire.
Il s’est bien gardé toutefois d’y goûter de peur de s’empoisonner !
Bonsoir Jean-Louis et Jean Baptiste, s'il y avait un dieu, il n'aurait sans doute pas permis que Trump accède à la présidence. Cet homme est comme un poison auquel on s'accoutume graduellement à force d'en consommer à petites doses tous les jours.
Je suis vraiment ravie qu'il t'ai plu, Josette. Pour la satire je n'ai aucun mérite car mon sujet s'y prête tous les jours très généreusement. Le fait est que j'attends avec impatience la fin de son mandat car là je suis sûre et certaine que toutes sortes de documentaires et d'écrits satiriques vont voir le jour.
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