Un an après ton départ, L’âtre de cette maison Est maintenant vide et froid. Tes rires de joie, de bonheur Se sont éteints peu à peu. De ta présence au coin du feu Il ne subsiste qu’un écho, Celui de ton cœur, en solo, Dansant pour toujours sur mon cœur.
Ô Dieux! Pourquoi tant de douleur, Lorsque s’est consumé l’Amour?
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