Tandis que peu à peu le soleil de Septembre Décline à l'horizon, chaque jour un peu plus, La nature promet, à ceux qui savent attendre, Toute une symphonie de teintes inattendues.
De la verte prairie à la treille vermeille, Ployant sous le raisin, aux feuilles veloutées, Les arbres du jardin, aux teintes mordorées, Complètent ce tableau aux multiples merveilles.
Mais l'âpre vent changeant s'est levé ce matin, Et la valse des feuilles a déjà commencé. Tremblantes, elles tournoient, se posent dans l'allée, Formant un doux tapis, léger et aérien.
Été radieux, peut - être, mais été odieux avec ces chaleurs intenables. Voici le bel automne, délicieusement décrit par notre JOSETTE, une peinture à réaliser rien qu'avec ces mots elle fera merveille. Bisous JOSETTTE ODE 31 - 17
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Et quelle magie ! Je suis en phase avec ce texte ds lequel j'ai ressenti ttes les couleurs, odeurs, mouvements, bruissements de cette saison chatoyante...Une ivresse de valser avec les feuilles -je l'ai fait hier et today- et de s'abstraire de tout ce qui est pesant...même pr un moment. J'M...! Bon dimanche, Josette, et amicaux...
Riaga...
"C'est avec la tête qu'on écrit. Si le coeur la chauffe, tant mieux, mais il ne faut pas le dire. Ce doit être un four invisible." Gustave Flaubert -
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