Dans mon regard vide se lit la joie du monde Mon corps dépareillé implose du rejet Des Hommes à mon égard comme une bête immonde Violemment perdu, tient haute la dragée.
Cette solitude fait l’effet d’un supplice Le monde autour en vie rayonne et d’une force Butte contre mon corps éclatant ses auspices
Ma jeune ombre brûlée s’apprêtant à descendre Se fera arrêter par mon honneur intact
Exactement Galatea belga, j’ai vu que vous n’affectionnez pas particulièrement les alexandrins ! Le prochain poème que je publierais n’en sera sûrement pas un.
J'ai aimé cette longue descente dans laquelle les ombres côtoient la lumière jusqu'au dernier éclat, résolument optimiste. Le dernier vers sonne comme une impulsion au fond d'une piscine, lorsque l'instinct de survie nous pousse à remonter à la surface. Ta jeune plume de 18 ans est déjà bien affirmée. Je me revois dans tes mots lorsque j'ai commencé à écrire ici, à 17 ans. Bienvenue ici.
Je te ressens un parmi les autres, dans des tourments qui à te lire passeront. Mais ce moment semble si difficile à vivre, ça me touche, personnellement. amicalement. pyc.
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