Déjà le titre de ce merveilleux écrit m'attire... Comme George Sand l'écrivait dans ces promenades autour d'un village... "Tout artiste aimant la campagne a rêvé de finir ses jours dans les conditions d'une vie simplifiée jusqu'à l'existence pastorale... et tout homme du monde se piquant d'esprit pratique a raillé le rêve du poète et méprisé l'idéal champêtre. Pourtant il y a une mystérieuse attraction dans cet idéal, et l'on pourrait classer le genre humain en deux types: celui qui, dans ses aspirations favorites, se bâtit des palais... et celui qui se bâtit des chaumières"
J'ai aimé lire ces quelques vers remplis de tant de sentiments qui animent mes jours et mes nuits... le moral absent...
Derrière le gris Et la fumée des chaumières Encore le néant Et pas encore de bleu Qui le moral remonte
Tremblent les albatros Sur les rigides antennes L’hiver a mis ses traits Et le grand froid est son étrenne.
Merci chère amie pour ce superbe partage. Bien à Toi. Etienne
« La véritable amitié commence quand les silences ne pèsent plus. » Romain Werlen.
Quelle merveilleuse image que celui de l'hiver. Tu nous le présentes tel un peintre le ferait sur sa toile. " Le grand froid est son étrenne " Joli Merci GALA, de mettre le bonhomme hiver à l'honneur Bises amicales ODE 31 - 17
Je parcours tes derniers écrits et je m'arrête là sur ce beau texte qu' Etienne est venu souligné pour toi d'une très belle citation. Amicalement ulm47
Déjà le titre de ce merveilleux écrit m'attire... Comme George Sand l'écrivait dans ces promenades autour d'un village... "Tout artiste aimant la campagne a rêvé de finir ses jours dans les conditions d'une vie simplifiée jusqu'à l'existence pastorale... et tout homme du monde se piquant d'esprit pratique a raillé le rêve du poète et méprisé l'idéal champêtre. Pourtant il y a une mystérieuse attraction dans cet idéal, et l'on pourrait classer le genre humain en deux types: celui qui, dans ses aspirations favorites, se bâtit des palais... et celui qui se bâtit des chaumières"
J'ai aimé lire ces quelques vers remplis de tant de sentiments qui animent mes jours et mes nuits... le moral absent...
Derrière le gris Et la fumée des chaumières Encore le néant Et pas encore de bleu Qui le moral remonte
Tremblent les albatros Sur les rigides antennes L’hiver a mis ses traits Et le grand froid est son étrenne.
Merci chère amie pour ce superbe partage. Bien à Toi. Etienne
Quelle merveilleuse image que celui de l'hiver. Tu nous le présentes tel un peintre le ferait sur sa toile. " Le grand froid est son étrenne " Joli Merci GALA, de mettre le bonhomme hiver à l'honneur Bises amicales ODE 31 - 17
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