Dans le brouillard au rebord des falaises Des présences se dessinent Le temps d’un pas de danse Et sont balayées par le vent Me laissant seul au monde Devant des mers indéchiffrables Les pieds pendus au-dessus de l’abîme
Mes souvenirs sont un océan de mélasse Qui me colle aux doigts Il faut que je te redise, Il y a des serpents dans mon cœur Et les fruits de mes espoirs goûtent encore le fer
J’ai étudié les empires des Hommes Il y a peu à en retirer Nous n’avons besoin que d’une goutte de malveillance Pour tout gangréner
Je sais qu’il commence à être temps Il faut que je me demande Comment je vais faire pour guérir tout seul de toute cette merde?
Plus la nuit est froide, moins mes brûlures me hantent Si le monde se calme autour de moi, je pourrai Je pourrai tout arranger
T'es bien jolie, mais est-ce que tu fond sur la langue?
Plus la nuit est froide, moins mes brûlures me hantent Si le monde se calme autour de moi, je pourrai Je pourrai tout arranger
Tout comme Lucas, j'aime cet espoir final d'autant plus que vous n'employez pas le conditionnel mais le futur... alors c'est déjà bien décidé... vous pourrez tout arranger
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