Sujet brûlant : les migrants ! Qui me sensibilise beaucoup Merci de l'avoir abordé.
Très beau poème...émouvant Comment peut-on imaginer L'excitation du départ pour une terre inconnue Et le leurre qui les attend Une vie suspendue à la peur constante De se faire engloutir Par des vagues immenses. La faim, la soif, le danger Qui a tous moments les guettent Et si la terre ferme est là...enfin ! Se voir rejeter, parqués. Ou est donc l'humanité ! ! C'est insupportable ! !
Bravo, c'est un très beau poème pour nous dire ce que ressentent ces personnes fuyant leur pays. Au-delà se pose en termes très concrets leur avenir et la capacité de notre accueil. Amicalement
Une situation vraiment très pénible depuis un certain temps.
Comment est-ce encore possible en 2016 ?
C'est de pire en pire à cause de cet Etat islamique...
Bravo pour ce poème très profond.
A bientôt
Vous pouvez prendre connaissance de mon système de versification, si vous le souhaitez (système personnel qui s'écarte des règles purement classiques).
Muscade : Je suis d'accord avec toi l'accueil devrait être plus humain. Et pour moi ce qui compte c'est l'avenir de ses gens.
Jean louis : Tu as bien vu c'est leur ressenti qui m'intéresse ici et aussi la cause de leur départ (la guerre qui les poussent à se jeter à la mer dans des canots pneumatiques. En quelque sorte une double peine, un sauve qui peut.
LPM : Oui l'état islamique à sa part de responsabilité et ce que j'ai voulu décrire ici, c'est d'abord le sort de centaines de milliers de braves gens qui pâtissent des actes et des décisions d'autres personnes. Et sur ces centaines de milliers en juin 2016 l'ONU annonce environ 10000 morts ou disparus en mer Méditerranée depuis 2014. C'est à eux que je pensais.
ls ont loué la mer contre vents et marées pour un morceau de terre qui les faisait rêver
sans même demander au marbre de la lune la douceur de l'écume sur leurs corps détrempés
par ces paquets de mer qui viennent balayer ce qu'il restait d'hier et de pays rêvés.
Au large, comme des fantômes, ils errent au pays des limbes perdues où la chaleur de la terre demeure sans vertu.
Aujourd'hui le vent est tombé, je regarde la mer, essayant d'oublier qu'au large l'espérance est veuve de milliers.
Poignant !!
Utiliser les mots justes pour une tragédie de notre temps qui vient secouer notre fragile confort et nous force à réfléchir sur la condition d'autres humains moins chanceux... Merci !
Bonjour Galatea Il est dramatique de voir que la soif de pouvoir de quelques hommes poussent des milliers d'autres à la mer. Merci d'avoir été sensible à leur détresse. Bonne soirée Christophe
Bonjour Adamantine Merci à toi d'être passée sous ces lignes ... pour partager tes impressions. Il n'est pas toujours aisé d'écrire des choses tristes ... mais cela permet - j'espère - de faire savoir. Bonne journée Christophe
Boujour Jacques Marie Un poême extrêmement triste effectivement. Heureusement que tout le monde ne voit pas la mer comme moi. Je préfère franchement la vision d'un Trenet. Mais il y a la réalité de la guerre, de la misère qui poussent les gens a des exodes peu ordinaires. Il faut le dire et puis l'écrire pour que les gens de nos pays comprennent qu'il ne s'agit pas pour eux d'un choix. Merci à toi d'avoir pris le temps de commenter ce texte. Très bonne journée Christophe
Un poème qui résonne durement, mais avec réalisme, avec l'actualité du moment... J'apprécie que le sujet des migrants soit évoqué sans les diaboliser, après je ne rentrerais pas dans la machine politique qui s'en est emparé. Mais poétiquement, je ressens de l'humanité pour ces gens qui vivent des choses inhumaines, ces mots me parlent. Amitiés chaleureuses. pyc.
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