Les dunes qui croissaient sous les replis de laine De ton pull indigo collant ton galbe fin N’éclairaient pas encor l’attrait de ton domaine Mon bonheur se noyait aux yeux d’un séraphin.
L’harmonie de nos cœurs sur les accords sincères, Ne connaissait le chant des viles intentions, Elle prisait l’instant de simples locataires D’un « Nous » navigateur aux flots des sensations… ~ Les formes épanouies qui tanguent sous ta robe, Légère sous l’effet du vent d’adolescent Gardent l’écrin du temps au bleu d’un amour probe Puis découvrent l’ardeur du feu concupiscent… ~ Chuchote un doux tam-tam alors qu’on n’y croit plus Sur la berge aplanie où l’âge nous croit sage Quand tes blanches rondeurs aux appels superflus Ondulent sous les plis ombrés de ton corsage… ~ Dans l ‘éther de nos vies se noue une émotion En ton ventre gonflé des joutes sensuelles Gorgé des coups de pied du fruit d’une passion Qui n’existent qu’en rêve aux nuits intemporelles.
Merci Demon, oui, ça m’arrive aussi de lire un peu ce que je veux ! Cependant, je trouve que « du » est très impersonnel ! Il m’éloignerait de son corps, non ? Puisque là, c’est le sien… Elle le porte… Sur sa peau…
Et je remercie aussi celles et ceux qui sont passés en silence… Lire, sans rien dire est aussi un cadeau.
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