Tanné de la publicité? Devenez un membre privilège et dites adieu aux bannières!

LPDP - Page d'accueil
Compte privilège
Nouveau compte
Activer un compte
Oublié mot de passe?
Renvoyer code d'activation
Poèmes populaires
Hasards de l'équipe
Poèmes de l'année
Publier un poème
Liste détaillée des sections
Poème au hasard
Poème au hasard avancé
Publications
Règlements
Liste des membres
Fils RSS
Foire aux questions
Contactez-nous
À Propos
::Poèmes::
Poèmes d'amour
Poèmes tristes
Poèmes d'amitié
Poèmes loufoques
Autres poèmes
Poèmes collectifs
Acrostiches
Poèmes par thèmes
::Textes::
Nouvelles littéraires
Contes d'horreur
Textes érotiques
Contes fantastiques
Lettres ouvertes
Citations personnelles & Formes courtes
Textes d'opinion
Théâtre & Scénario
::Discussions::
Nouvelles
Portrait sous vers
Les parutions
De tout et de rien
Aide aux utilisateurs
Boîte à suggestions
Journal
Le coin de la technique
::Images::
Album photo

Membre : 0
Invités : 37
Invisible : 0
Total : 37
13275 membres inscrits

Montréal: 2 décembre 10:41:45
Paris: 2 décembre 16:41:45
::Sélection du thème::
Ciel d'automne
Lime trash
Soleil levant



LPDP :: Autres poèmes :: Ce que disent les monstres vertical_align_bottom arrow_forward_ios

Page : [1] :: Répondre
Lux


dites non au patron, mais oui à la voisine.
   
Statut: Hors ligne
Envoyez un message instantané à ce poète.
Statistiques de l'utilisateur
96 poèmes Liste
217 commentaires
Membre depuis
23 décembre 2008
Dernière connexion
24 oct à 10:33
  Publié: 18 juin 2014 à 17:32
Modifié:  18 juin 2014 à 17:32 par Lux
Citer vertical_align_bottom


Si les vents te ramènent
après la chute

Si ton ombre se courbe
après l'attente

Si tes mains restent froides
Si les vents te ramènent
au pied des arbres secs
après l'attente
après la chute

Si ton ombre se cache
entre deux feuilles mortes
après la chute
après les coups

Si tes mains restent froides
Si ta bouche mendie
Si tu te caches encore
après les coups

Si tu tombes sans cesse
après la mort
après le souffle
après la foudre

Si tu brandis les armes
comme on attrape au vol un oiseau qui s'échappe
Si tes mots se dispersent
et qu'ils meurent au soleil
Si tu tombes sans cesse
après la chute
viens me dire à l'oreille
ce que disent les monstres.

 
Sybilla

Statut: Hors ligne
Envoyez un message instantané à ce poète.
Statistiques de l'utilisateur
87 poèmes Liste
15027 commentaires
Membre depuis
28 août 2012
Dernière connexion
3 jan 2022 à 15:41
  Publié: 18 juin 2014 à 18:07 Citer vertical_align_bottom



Bonsoir Lux,

Une très belle poésie qui doit s'adresser à une personne que tu apprécies beaucoup !
Merci de ce partage !


Mes amitiés

Sybilla

  Le rêve est le poumon de ma vie
Page : [1] :: Répondre

 

 



Répondre
Version imprimable
Avertissement par courriel
Autres poèmes de cet auteur
Cocher cette section lue
Cocher toutes les sections lues
Visites: 867
Réponses: 1
Réponses uniques: 1
Listes: 0 - Voir

Page : [1]

Les membres qui ont aimé ce poème ont aussi aimé les poèmes suivants :



Nous n'avons pas assez de données pour vous afficher des recommandations. Aidez-nous en assignant une cote d'appréciation aux poèmes que vous consultez.

 

 
Cette page a été générée en [0,0306] secondes.
 © 2000 - 2023 VizFX.ca - Tous droits réservés  | Pour nous joindre
L'utilisation de ce site Web implique l'acceptation des Conditions d'utilisation. Tous les textes hébergés par La Passion des Poèmes sont protégés par les lois de la protection des droits d'auteurs ainsi que par des traités internationaux. Il est strictement interdit de distribuer, d'afficher ou d'utiliser ces textes de quelque manière sans l'autorisation de l'auteur du texte en question.

           
 
Oubliez votre mot de passe? Cliquez ici.