Au banquet de la vie
Moi je casserais bien la dalle
La mine toute ravie
Même si je ne comprends que dalle

Bonsoir chère Catherine,

Souhaitons que la nature en décide autrement...
Merci pour ces très belles métaphores que j'ai aimé lire !


Toutes mes amitiés

Sybilla

Un problème qu' on trouve dans la bonne société autant que chez les emarginés.
L'homme souffre n'importe son éducation, ses moyens ...peut être les moins riches n' ont pas du tout d'espoir de s'en sortir

J'ai compris juste un peu...


lilia

Bonjour Catherine,

Une très belle façon d'aborder ce sujet avec une plume très ravissante !

Merci de cet excellent partage poétique et qui donne réflexion

Mes amitiés
Bisous James

>QUOIQOUIJE
Tu comprends rien à la vie ? Ha moi, pas certain non plus

>Sybilla
Peut-être faut-il dompter la nature parfois. La contrer pour revenir à soi - c'est souvent ce qu'on fait dans sa vie par stade.

>Lilia
Est-ce véritablement une question de moyens financiers ? Je ne le le pense, la conscience est à la portée de tous/toutes. On a le choix Est-ce qu'on continue sur les traces de ces ancêtres même si ce chemin ne convient pas, mais on préfère la loyauté filiale ou bien Est-ce qu'on rompt avec la tradition familiale et parfois sociale pour voler de nos propres ailes, même si l'option a un coût - en se demandant si cette voie rend heureux.

>James
Ravie de te savoir parmi nous et que mes textes fassent partie de tes lectures matinales.
Merci pour ton commentaire et grand encouragement.
Des , Monsieur.

Merci à tous les 4 d'avoir commenté ce texte pas si évident.

Big Bisous,
Catherine

c'est question de choix et mentalité
faire son propre jugement , loin des idées reçu
merci cat

Bonsoir Catherine,

un poème si juste,
j'ai beaucoup aimé:

est-ce que ce monde a droit à un devenir gai ?
Pourquoi d'autres besoins que l'amour qui s'étend

Pourquoi en effet...
superbe partage
amitiés sincères

Salut Cat ! Avoir de la bouteille (acquérir de la maturité), n'aide pas les sociétés. On dirait que c'est tout le contraire. D'où cette bouteille à la mer (ton poème), et toutes ces alertes d'ONG pour nous demander d'ouvrir nos consciences avant qu'il ne soit trop tard. Merci du partage.

Bonsoir Cat,
La convoitise, le pouvoir, la puissance, la richesse et j'en oublie .... Si l'homme renonce à tout ça c'est qu'effectivement il aura pris conscience que la vie peut être plus belle en revenant à des valeurs morales de solidarité, d'amitié et d'amour.
Amicalement
Pichardin

>Mido
Question de choix et éduquer sa propre vision des choses.
Merci à toi

>Rosi
Merci beaucoup pour ce commentaire.
Au départ, j'avais écrit : je n'ai d'autres besoins qui s'étend. Et je me suis dit pour quelle raison parler de moi d'un coup ?
Hein ? Encore des pourquoi !

>Jean-Claude
Huuum, le fond de l'air est morose, et le fond de l'eau sté Ô peau rose.

>Pichardin
Être avant d'avoir. Avoir pour être. Etre pour offrir.

Merci à vous tous, z'amis poètes(ses)
Cath

Bonsoir Catwoman,

Il y a le nid originel, avec tout ce qu'il peut nous transmettre,
puis vient la vie, avec ses nombreux chemins et ses rencontres...

Quid de la descendance ?
la question peut se poser.

Un changement doit s'opérer,
dans les esprits et dans les coeurs,
mais pas toujours facile...

Merci pour ce poème très consistant qui engage une réflexion.

Amitiés.

>Le Poète Masqué
Merci beaucoup pour ce commentaire riche.
Oui, le nid est plus ou moins nourrissant et parfois pas tant que çà. Ensuite, comme tu dis, la suite est rarement simple. Trouver l'équilibre entre la filiation et le souci d'être soi-même et de défaire des fils invisibles mais néanmoins liants - et même handicapants.

>Richard
Les traditions sont-elles haïssables ? Certainement quand elles servent à asseoir un contrôle sur les autres (obligation de la présence à Noël, mutilations sous couvert qu'elles se pratiquent depuis la nuit des temps - pire que n'importe quelle religion où elle n'est jamais imposée). Si on pouvait s'en détacher, pour ne conserver que le plaisir de partager et d'être ensemble. Quand on est forcé, on ne le vit pas forcément bien et les êtres se déchirent.; Pas joli-joli.
Plus généralement, nous sommes en général moins libres qu'on ne le pense. Nous sommes gouvernés par des forces sur lesquelles nous n'avons pas prises. Reprendre la gouvernance de ses désirs, sans se soumettre à la pression environnante prend toute une vie car nous ne sommes pas ermite.
Un moyen ? En dire le moins possible car les gens s'arrogent souvent le droit de vous dire ce qu'ils pensent de vos actes mais réagissent par rapport à leurs propres peurs ainsi qu'à leur projection, inadapté à notre personne. Dommage.

>Marc
En fait, le titre n'a pas été choisi au hasard.
Merci de la visite.

Merci à tous pour ces commentaires enrichissants,
Catherine

nous n'avons qu'une vie, il faut tout faire pour ne pas la rater même si les choix ne sont pas faciles

Amitiés poétiques

Yvon

Yvon,
Oui, on s'implique dans sa vie.

Des bises,
Cath