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Auto dit d'acte


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  Publié: 22 sept 2013 à 06:01
Modifié:  27 déc 2013 à 17:52 par Adamantine
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Foutu cancer.

Une sirène de police m'a sorti de la phase de sommeil que ma tête commençait à improviser, une sirène hurlante juste sous la fenêtre de la chambre que j'occupe.
Deux heure du matin, une sirène qui hurle à vos tympans que la criminologie de cette ville n'est pas en baisse à l'heure où le commun des mortels devrait dormir.

J'ai perdu mon premier sommeil et mon encéphale vieillissant se remet à ruminer les affres d'une vie passée à chercher le pourquoi ? Pourquoi quoi ? Pourquoi je dois mourir peut-être demain ! Pourquoi disparaissons-nous tous un jour ? Est-ce une fin en soit ? Une punition ? Une récompense quand on parle du repos éternel ?

Foutu cancer ! Foutue vie passée à me demander où j'allais, quelle finalité... Hmm... jamais fait de mal à qui que ce soit quand j'y pense !... juste à ne rien foutre justement selon les dires de ma femme et de beaucoup d'autres ! Écrire, écrire et encore écrire, jusqu'à en perdre le sommeil ! Écrire sur la vie, sur la terre, sur nos politiques ! Vraiment pas mal de coups d'inspiration nos politiques, je ne leur dirai jamais assez merci pour tous les mots qu'ils m'ont inspirés ces braves comédiens. Grâce à eux j'ai deux possibilités à l'heure présente, mourir seul dans ma chambre de bonne sous les toits, ou mourir seul dans un service d'oncologie, ruiné sans le sou avec pour seule compagnie une machine léguée par notre fameux vingt et unième siècle, baptisée par notre ministre de la santé hopitaxe.
Une machine censée réguler le trafic des patients en fin de vie qui taxe vos dernières heures à la minute. Ou alors si vous le préférez vous avez toujours la possibilité de prendre un forfait dont le montant se calcule sur votre patrimoine bancaire, déclaration d'imposition à l'appui, mais sans rabais !

Alors comme je suis sans le sou depuis mon plus jeune âge, le temps compté à crever dans les hôpitaux n'aurait pas été bien long, tout au plus une dizaine de jours ! Après dehors le vieux !

Du coup, j'ai choisi de mourir "chez moi", dans cette petite chambre de bonne sous les toits que je loue à mon proxénète de propriétaire. Mesdames ses putes me connaissent pratiquement toutes. Elles m'appellent le vieux poète depuis qu'une de ces dames invitée à mon étage pour une petite question d'hygiène, est tombée sur un texte chargé de rimes qui ressemblait vaguement à un poème. Texte dont je ne me rappelle même plus l'essence.

Le truc bien dans cet environnement direct autour de l'immeuble qu'occupe mon meublé, c'est que ces dames ont la pharmacie juste à côté de la porte de mon hall d'immeuble, enfin hall, si j'ose dire, un couloir étroit et crasseux débouchant sur une porte de placard creuse, mal rabotée et cassée.
Peu importe, cet endroit m'a plu la première fois que je l'ai visité, surtout le prix qui m'a plu oui... le prix ! Et puis je me suis dit que je pouvais avoir de la compagnie à n'importe quelle heure du jour même si cette compagnie n'allait pas être gratuite.

Donc j'ai opté pour la mort à la maison, seul avec mes cahiers, des cahiers que j'ai eu de plus en plus de mal à trouver avec les années. Selon nos dirigeants le papier n'est plus nécessaire, tout le monde doit avoir son PC ou sa tablette ! Ceux qui n'ont pas les moyens ?... Pfff ! Cela n'existe plus ! Tout le monde a les moyens dans notre société, l'évolution et le progrès c'est cela aussi ! Oublier les malheureux, cela n'existe pas les malheureux, non !

Premier sommeil cassé, foutu cancer ! Du coup je pense, je pense et je pense encore, cela sert à quoi de penser quand je suis certain que tout va s'arrêter ? Ma pensée va se désintégrer du jour au lendemain ! Plus de corps en état de fonctionner plus de pensées, rien d'autre que le néant !

Ah si, cela me revient ! J'ai commencé à écrire des petites choses sans grand intérêt sauf peut-être pour les professeurs du collège qui y trouvaient matière à discuter et critiquer. Mais le vrai déclencheur a été lors d'un texte de rédaction, je ne sais même plus quel âge j'avais, dix, peut-être douze ans. Mon professeur de français de l'époque m'avait dit avoir été subjugué par la qualité de mon écrit pour un garçon de mon âge, que la psychologie et la mouvance avec lesquelles mes personnages étaient décrits ne pouvaient laisser le lecteur de marbre, au contraire. Il s'était lancé dans une suite d'éloges tellement plus agréables les unes que les autres que je m'étais envolé sur un petit nuage. Je m'étais senti fort, maître du temps et surtout de mes histoires, même celles que je n'avais pas aimées. Je m'étais dit que s'il les avaient lues il aurait peut-être apprécié, va savoir !?

Du coup, j'ai intensifié mes écrits, modifié ma manière de les écrire et remis sur le tapis bien des fois les textes qui ne me plaisaient pas. Un cadeau que je voulais faire à mes lecteurs que je n'aie jamais trouvés. Pas que mes écrits n'aient jamais eu d'amateurs, mais que j'aie toujours reporté le fait de les donner à lire ou d'essayer de les faire paraître.

En fait, je pense surtout que j'ai écrit intensivement tout au long de ma vie depuis cette année là parce que je me suis aperçu pour l'occasion que je ne savais pas parler !
Lorsque ce professeur bien intentionné m'a donné tant de qualificatifs concernant mon texte et ma personne, j'eus voulu lui répondre, mais les seuls sons que je pus faire sortir de mon orifice buccal furent des silences étouffés par la timidité. Je me sentais sur le moment le maître du monde mais en même temps ce sentiment me donnait l'envie de me cacher et mes balbutiements incompréhensibles ne furent même pas remarqués par ce professeur, si bas étant le volume de ces sons, du moins je le crois.

Plus tard ne sachant pas parler comme le commun des mortels et m'apercevant que mes sentiments étaient bien entendu plus à l'aise sur le papier, je me suis mis à consigner tout et n'importe quoi. Pensées sentiments quiproquos rencontres amour tout quoi. Mais le dire, toutes ces choses, aux personnes que j'ai appréciées et aimées, la plupart du temps, IMPOSSIBLE !!!

Deux heures vingt du matin premier sommeil foutu, foutu cancer, je pense, je pense trop... alors j'écris. Mais pourquoi j'écris. Personne ne s'intéressera à cette montagne de cahiers et papiers en tout genre. Même le lit en est bondé de ces pages qui racontent tout et n'importe quoi, qui va s'y intéresser quand je serai parti. Et puis mon proxo, celui à qui je verse le loyer, vous savez, vous vous rappelez, lui quand les services de la ville viendront me sortir de là les pieds en avant, il va tout mettre loin, au feu les cahiers et à la décharge le reste. Je crois me souvenir que ce zèbre là ne sait lire que les chiffres, les chiffres des billets que lui ramènent mesdames ses putes.
Une fois, il a fallu que je lui lise une convocation du tribunal fédéral, il était accusé de coups et blessures involontaires, " involontaires mon c...", le zèbre en question avait éclaté le nez et les deux yeux d'une de ses travailleuses de fortune. C'est le ministère public qui a porté plainte pour se faire rembourser les frais médicaux que la malheureuse n'avait pu payer. Par contre l'asticot avait tout de suite vu et compris les montants évoqués. Lorsque je lui ai dit que selon les termes de la lettre il risquait de payer plusieurs milliers de francs, il a eu l'air d'un bonobo se faisant courser par un caïman.

2.30 du matin, premier sommeil foutu, foutu cancer, j'écris encore. Et cette lueur verte mêlée parfois de rouge qui emplit la chambre. Elle couvre presque entièrement la blancheur jaunie de ma vieille lampe de poche qui me sert pour poser mes mots sur le papier.
Et oui, je n'ai pas payé la note d'électricité, alors ils n'ont pas attendu pour couper l'approvisionnement. Pas grave...il y a pire dans cette vie, de toute façon quand je dois me lever ou bouger de quelque sorte, l'enseigne de l'extérieur fixée sous ma fenêtre me rappelle que la pharmacie est toujours là, et les putes aussi quand j'entends les bruits de moteur ralentir et les portières se fermer juste avant qu'elles n'accélèrent. Du fait je bouge sans problème. Oui la pharmacie et les putes sont encore là...

Ces lueurs vertes qui tressaillent de temps à autre à cause d'un tube néon qui est en fin de vie sont toujours là, oui, sauf le jour. Le jour c'est le bruit, non pas qu'il n'y en ait pas la nuit, il y en a moins. Mais le bruit du tram qui grince quand il freine, le bruit de la marmaille qui passe sous mon unique fenêtre pour aller au lycée, le bruit des marteaux piqueurs pendant presque dix heures car l'ancien commerce d'en face est en rénovation.
L'ancien commerce, une épicerie qui a eu trois proprios d'affilée pour cause de braquage.
Deux sont morts, le troisième, toujours en vie veut monter un sex-shop bâti comme une succursale bancaire dans laquelle vous seriez déjà dans le coffre fort sur le pas de la porte.
Elle vont être contentes mesdames les putes, le nouveau commerce va leur faire venir des clients en plus.

2.50 du mat et j'écris comme je pense, presque aussi vite. Cela rime à quoi, qui va s'y intéresser, quand ? Comment ? Je laisse des pensées en pagaille mais je ne serai plus là pour les expliquer, comment seront-elles interprétées si...

Ah oui je me souviens, ma fille, j'avais décidé de lui laisser ces mots, tous ces mots, qu'elle puisse un peu me connaître à titre posthume. J'avais pensé que je lui devais des explications. Elle doit savoir, comprendre que je ne suis pas un ... Pas grave, arrête d'y penser, elle est grande maintenant elle se fera sa propre opinion. Elle a dû comprendre maintenant que sa mère...
Tu parles, ne te fais pas d'illusions, ta fille Sibylle, oui bien sûr ! Elle ne sait même pas si tu existes encore, elle doit penser que tu es raide mort quelque part ! Ce qui ne va pas tarder à arriver d'ailleurs. Et puis, tu imagines ton proxo de proprio la contacter pour venir récupérer tes affaires ? Il n'a même pas son adresse !



5.00 heures ! Deux heures et dix minutes que je regarde la fenêtre et plus rien ne se pose sur le papier, je suis fatigué, je n'arrive même plus à remuer la main. Je voudrais rejoindre mon plumard mais je n'en ai pas la force. Il faut que j'écrive encore, que je laisse une trace, que je lui laisse une trace !
La lueur verte... et rouge par moment ne va pas tarder à s'éteindre. Le bruit va s'amplifier et je ne pourrais plus écrire. Je n'y arrive pas quand il y a trop de bruit. J'ai horreur du bruit.

Mais il me semble que le bruit s'éloigne, non il ne s'éloigne pas il vient de loin maintenant.



-Tu n'aurais pas dû payer le loyer de retard qu'il devait à cet espèce de sale c... Je l'aime pas ce sale bonhomme, il est malpoli et il n'a fait que mater ton cul en montant les marches jusqu'ici, sans même s'en cacher. Il me donne envie de gerber quand je le regarde. Et puis je trouve le montant vraiment trop cher quand on voit la prestation, c'est vraiment crade ici.

Tu as vu ? Il ne parle à aucun moment de moi papa ! On dirait qu'il s'en fout complètement, dans tout ce que je lis il n'y en a que pour toi !

-S'il avait payé le montant du loyer en avance, nous n'aurions peut-être jamais su pour lui.

Ne lui en veux pas trop, il ne savait pas ! Maman ne lui a jamais dit pour toi ! Je t'expliquerai tout un jour, quand j'aurai le courage Louise ! Tu ne pourras pas comprendre et puis à voir ce foutoir, il va falloir remettre de l'ordre là dedans avant que tu ne lises tout, je vais m'en occuper dit Sibylle en regardant lascivement par la fenêtre la pluie tomber, je vais m'en occuper ! Oui je vais m'en occuper..."

  pmjb
Jeanne


Les mots savent de nous ce que nous ignorons d'eux. René Char
   
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  Publié: 22 sept 2013 à 06:45 Citer vertical_align_bottom

Difficile de répondre après la lecture de ce texte déchirant qui me laisse sans voix.
Tu n'as pas écrit dans le vide...et ton professeur avait vu juste. Continue et donne à lire encore ces textes ô combien vivants...et transmets.
Amitiés chaleureuses
Jeanne

 
Galatea belga


Mon rêve est la réalité banale d'un autre-Galatea-
   
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  Publié: 22 sept 2013 à 09:48 Citer vertical_align_bottom

Donc j'ai opté pour la mort à la maison, seul avec mes cahiers, des cahiers que j'ai eu de plus en plus de mal à trouver avec les années. Selon nos dirigeants le papier n'est plus nécessaire, tout le monde doit avoir son PC ou sa tablette ! Ceux qui n'ont pas les moyens ?... Pfff ! Cela n'existe plus ! Tous le monde a les moyens dans notre société, l'évolution et le progrès c'est cela aussi ! Oublier les malheureux, cela n'existe pas les malheureux, non !

je ne sais pas si dans ce cas le malheur existe vraiment ou si tu as fait seulement de l'art...
En tout cas merci pour ces mots qui rappellent bien la triste condition de beaucoup de monde...
Amicalement
galatea

  Si visi amari, ama.Le Prince ...oh le Prince...
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« Rien, en Poésie, ne s’achève. Tout est en route, à jamais. Andrée Chédid
   
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Il y a 1 minute
  Publié: 22 sept 2013 à 15:49 Citer vertical_align_bottom

Ok, les "Sybille" ont un côté énigmatique et à double sens mais celle-ci ne manquerait-elle pas de sagesse ?

Voici un texte bien poignant qui donne l'idée du poète malade au fin fond de son lit, malade et sans le sou. Un côté Zola, je trouve.

Catherine

 
Sybilla

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  Publié: 22 sept 2013 à 19:35 Citer vertical_align_bottom



Ton texte m'a bouleversée! La maladie, et puis les conditions de vie sont véritablement tristes et poignantes...


J'ai lu mon prénom... Oups... Sybille... Sybilla... presque le même...
Et la Sybille de ton texte ne semble pas très préoccupée ni pressée de résoudre les problèmes....ce n'est pas cool...

Bon courage à toi et ta femme!

Amitiés sincères

Sybilla

  Le rêve est le poumon de ma vie
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9 mars à 20:19
  Publié: 24 sept 2013 à 13:20 Citer vertical_align_bottom

Merci Jeanne pour ce compliment qui fait chaud au cœur. Et je vais continuer et je vais transmettre tant que la faucheuse ou qu'un Alzheimer par exemple ne se mettrons en travers de ma route vers l'inspiration ( en essayant de le faire du mieux possible bien entendu)
et

Pas que de l'art Gala, je te remercie d'avoir déposé ce chaleureux commentaire.
Un texte un peu inspiré d'une situation que je vis actuellement mais à peine, pas de malheur à proprement dis, juste des choses de la vie auxquelles on ne peux pas échapper un jours ou l'autre et qui vous font courir les hôpitaux pour vos proches.
Merci pour ton passage très chère Gala
Et tout pleins de Mon compte à bisous n'est toujours pas en découvert

Chris, salut mon ami, tiens je l'avais perdue ma signature !? . Content qu'elle m'ait retrouvée

Les gentils qui meurent ? Et cela te fait peur !? Non t'es un grand garçon !

Tu sais la vie c'est comme cela, les gentils s'en vont mais les méchants aussi, un jour ou l'autre ! Même si on a l'impression que cela met plus de temps, c'est peut-être parce-qu'il font plus de mal et qu'ils marquent plus généralement les esprits !? L'attente de voir partir un méchant peut sembler longue, très longue, surtout lorsque l'on en fait les frais.

Écrit d'un seul coup de plume effectivement, et sur une tablette en partie au volant oups je devrais pas le dire je vais me prendre un PV, et le tout avec un correcteur orthographique qui fais ce qu'il veut et me pond même des mots qui n'existent pas. Je ne dis pas que je n'en fait pas des fautes, mais laisser des coquilles pareilles à la parution d'un texte, ce n'est franchement pas de moi ! Et puis, je suis vraiment accro à l'écriture, et avec le manque de temps plus ces temps-ci un problème de famille important, je n'ai pas eu la tête à ce que je faisais. Donc pardon pour les coquilles sur ce texte. Je vais essayer de ne plus t'écorcher les yeux je m'en vais de ce pas le corriger ce texte. Enfin, après avoir répondu à tout le monde bien sûr.
Laisser des coquilles c'est pas grave, mais ne pas répondre à la gentillesse des lecteurs qui viennent te dire qu'ils ont aimé ce que tu à fais, ça c'est grave je crois !

Je vois aussi que tu as apprécié la fin, et il est vrai que c'était presque tout le sens de ce texte, il lance juste un peu la suite qui arrive. Et va savoir si c'était un gentil ? Peut-être que oui, la suite au prochain épisode, enfin je me souviens 02 corrigé je jure
Une bise de la part de Brigitte et trois de moi mon ami
ça fait quatre si je sais compter je suis pas avare dans la matière mais tu n'as pas les cheveux longs et d'autres trucs bien Heu... pensés.

Catherine, je suis flatté très chère par cette Heu...comparaison ? Non ce rapprochement du côté Zola. J'adore avec un A !
Amitiés et tout pleins de

Sybilla, je t'ai répondu en MP sur deux trois petites choses. Et t'inquiète pas pour Sybille, c'est une ancienne amoureuse que j'ai connue et bien qu'ayant modifié un tantinet son perso, je pense qu'elle pourrai surprendre à l'avenir peut être aux alentours du troisième ou quatrième volet. Elle est songeuse ici ! Et il pleut, il pleut...
Tout pleins de

Sanguine, merci de ton passage, j'espère que ce sujet t'a touché en bien ? Ce père là aurait voulu lui parler, mais il ne savait pas forcément le faire, et il est des personnes qui paniquent à l'idée de ne pas savoir...je ne sais pas, je ne vais pas tout dévoiler...

Bien à toi, au plaisir de te relire.

Amitiés à tous ceux qui passent sur ce texte.
F.d.

  pmjb
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9 mars à 20:19
  Publié: 13 oct 2013 à 17:22 Citer vertical_align_bottom

Bonsoir Suw, certains détails sont perso uniquement, le reste n'est que "pensé".

Merci beaucoup pour l'expression de ton ressenti.

Amitié

Patrick.

  pmjb
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