Quand la nuit s’envole, … Les rêves expirent, le ciel s’estompe, Le silence brun qui insuffle à nos cœurs, La douceur, tendre et pâle de l’aurore. Le mur torride qui transpire encore, le temps qui tremble. Les arômes sauvages de la rosée, le brouillard éméché d’un jour férié, Le caprice d’une lady, le velours de sa peau, Tendre et belle, tiède et luisante, au bout de mes doigts, Quand le flambeau terne de l’aube se faufile indiscret, Et caresse candidement, les rires qui vêtissent sa peau nue. La fièvre de l’extase qui s’éteint sur ses joues, Nos idées qui errent dans le torrent passionnel d’un baiser, L’écho assourdissant du silence, qui enterre placidement, Les secrets de la nuit, éparpillés par les vents, au bout de ses lèvres, La poésie de ses yeux, son regard, le parfum du désir au seuil de sa bouche. Et la lune éteinte, dans la brume opaque du jour qui attend, Et l’amour qui s’endort, enlacé dans le cœur de mes bras …
Que c'est beau tout ça, alors....Retiens la nuit, comme par magie, l'aurore te laissera peut - être un sursis....Je l'espère. Ton poème fait rêver Bien amicalement ODE 31 - 17
savoir capter et retranscrire avec finesse un moment de la vie qui se répète chaque jour et auquel on pourrait ne plus prêter attention...mais toi, tu ressens tellement de choses entre le jour qui se lève doucement, et l'amour près de toi qui dort encore mais qui est lumineux de vie dans tout ton être, et encore plus dans ton coeur. la nuit s'envole mais ta plume demeure. amitiés très sincères à toi. pyc.
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