"Livides, l'oeil éteint, de noirs cheveux chargés" Les orientales .Victor Hugo
Géolier de mon coeur
Exilée à ton bonheur
Ce jour tu avais pris mes yeux en otage...
Le ciel était d'or, la mer d'un bleu transparent, J'ai croisé ton regard, il était si brumeux, Et mon âme a eu peur, j'ai senti tout le feu, Quand j'ai vu tes yeux, ils n'étaient plus de diamant.
Ils reflétaient l'abîme noir et les enfers, Pourtant mes prunelles n'espéraient qu'un aveu ; Toujours être Celle qui te rendrait heureux, Et vivre aux réalités de nos prières.
Mais ce jour-là, tu n'as pas effleuré ma main ! Et tes pupilles n'ont pas su voir mon chagrin ! Tu paraissais si loin, fermé, comme en cage !
Ton coeur à double tour, j'avais perdu la clef ! Ce regard puissant restera toujours gravé ! Tu avais pris mes yeux d'airain en otage !
Mes vers fuiraient,doux et frèles,vers votre jardin si beau,si mes vers avaient des ailes,des ailes comme l'oiseau
tout ce que tu as su capter d'un regard dur, et cette personne qui n'a pas saisi la portée de ta peine...un poème qui se comprend bien, qui a des images très évocatrices...on en est triste pour toi, à espérer que cette clé perdue, tu aies pu la retrouver pour le bonheur légitime auquel tu as droit...même si avoir la clé ne dispense pas que l'être en face accepte que tu accèdes à son coeur pour l'utiliser, et malheureusement, c'est souvent la que les choses se compliquent, j'en sais quelque chose... amitiés sincères à toi. pyc.
Pyc............................ quel bonheur de lire encore tes mots et de voir que tu me comprends ; je suis triste que tu le ressente de ton coeur.. triste au revoir que nos coeurs ... quand les âmes se séparent "même si avoir la clé ne dispense pas que l'être en face accepte que tu accèdes à son coeur pour l'utiliser" et oui malheureusement la clé n'était sûrement pas la bonne ou alors le verrou était définitivement clôt merci à très vite de lire ta plume aussi
Mes vers fuiraient,doux et frèles,vers votre jardin si beau,si mes vers avaient des ailes,des ailes comme l'oiseau
il est le regard d'un homme qui quand il croisait mon regard se mettait à brûler d'une étincelle de malice et de moquerie jusqu’à ce que je comprenne qu'elle ne faisait que masquer un désir inavouable ainsi qu'une immense tristesse, mais le temps que je m'en rende compte son regard était devenu comme celui que tu décrit, mais aujourd'hui je n'ai même plus la chance de croiser ce regard que me faisait chavirer car il m'évite, alors sache que je comprend ce que tu ressens.
Prends une feuille de papier, froisses-la, défroisses-la et essayes de l’aplanir. Y arrives-tu? A méditer.
heureuse de te voir en passage sur mes vers ... le regard est le miroir de l'âme il revele beaucoup et blesse aussi ... dans ses yeux tellement sombre que l'amour n'etait plus là ! desole que tu es vécu ca aussi rimeva
Mes vers fuiraient,doux et frèles,vers votre jardin si beau,si mes vers avaient des ailes,des ailes comme l'oiseau
Très joli texte même s'il n'est que souffrance. J'arrive à me reconnaître dans ce regard malheureusement, et croiser le regard de l'être aimé dans ces moments et quelque chose de tellement difficile
merci pour ton commentaire d autant que tu le comprend et l a vécu peut être de l autre cote du regard mais en effet tu as su trouver en ce texte beaucoup de souffrance c'est vrai de l incompréhension aussi , de la tristesse et même aussi de la peur ...ce regard ce jour là je m'en souviens encore sombre et dur si froid ... merci . rimeva
Mes vers fuiraient,doux et frèles,vers votre jardin si beau,si mes vers avaient des ailes,des ailes comme l'oiseau
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