Il est si peu de choses qui m’ont rendu heureux dans cette vie, Que j’en garde chaque miette à l’esprit, Mais en toutes choses qu’elles soient féerie ou barbarie, De toutes situations longues ou éphémères j’ai appris ! Appris que tout ici-bas y est en sursis !
Il ne tient qu’à nous d’éviter les avaries, Alors pour le bonheur j’ai une philosophie, Pour le malheur je discute d’une théorie, Une philosophie qui ressemble à un champ fleuri, La théorie se présente sous forme de plaidoirie !
La philosophie de tout présenter par la poésie, La théorie de faire du malheur une hérésie ! Ma plaidoirie requiert l’oubli, le malheur y est à l’agonie, Ma poésie lui dit que tout malheur peut être joli, Si par mes mots j’y mets une garantie.
La garantie que par une poésie je suis le chemin que j’ai choisi, La garantie que mes mots feront le bonheur de mon égérie, La garantie que mes maux tomberont à tout jamais dans l’oubli, La garantie enfin, que la poésie restera l’âme de ma philosophie !
une philosophie qui a le don de m'impressionner, j'aimerais pouvoir l'appliquer pour moi même, mais je pense que c'est peine perdue. Que tu accordes une vraie importance à la poésie, donc à l'écriture, on ne va pas s'en plaindre, ça nous permettra de te lire sans doute à nouveau. amicalement. pyc.
Heureux les simples d’esprit, car le Royaume des Cieux est à eux… Malheureux les autres ? Heureux, malheureux, dépressifs ! Pourquoi ne pas tout dire en poésie, elle est le remède à bien des maux. Et pourquoi pas le Paradis sur terre !? Merci pour vos commentaires et votre attention. Cordialement F.d
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