Depuis que tu ne viens plus me voir, Je me noie dans l'alcool et broie du noir. La boutanche, cette bonne chopine, Est devenue ma nouvelle copine.
Elle me tient compagnie tous les soirs. Souvent même le jour quand je broie du noir. Plus je bois et moins je me tiens droit. Tous les matins j'ai la gueule de bois.
La bouche pâteuse, j'ai la mine affreuse. Mais je m'en fous elle me sert de doudou.
C'est fini, je ne cours plus la gueuse. D'ailleurs l'alcool m'a calmé mes valseuses. J'ai misé, placé dans du liquide, Le cours de mes bourses ne sert plus de guide.
Sur les murs de mes nuits nébuleuses Je projette ta silhouette langoureuse. Je crois te voir là tout près de moi. Ô si tu savais comme je pense à toi.
Voluptueuse, séductrice tueuse. Vite reviens-moi, allez reviens chez moi.
L'alcool c'est triste quand il devient la seule compagnie ! Si tu bois comme dans ton poème A mon avis, c'est cuit Elle n’apparaîtra que sur les murs De ta nuit comme un mirage Qui s'enfuit. Laissant place à la nostalgie. Alors refait danser tes "valseuses Elles en seront ravies...et toi aussi Mets-toi à l'eau...et pas à l'eau de vie !
Ce serait mal placé que je me nomme ODE vie, mais il serait mieux pour toi que je devienne ODE source et t'encourager à apprécier un liquide plus transparent... Elle va revenir et l'ivresse ne sera plus la même. Bises amicales ODE 31 - 17
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