Le cri de désespoir d’un homme torturé, Agonisant ; la mort venant lui murmurer Qu'il est temps de quitter ce monde de souffrance. Son visage gonflé était méconnaissable, Son corps et son état étaient en décadences, Mais la chance lui vint quand ses amis aimables Débarquèrent et mirent fin à la torture. Leurs larmes arrivèrent à toucher le mourant : Triste joie qui, face aux pires douleurs, ne dure ! Ils voulurent l’aider, et, les interrompant, Il prononça péniblement ces jolis mots :
« Dîtes à ma femme que je l’aime plus que tout, Elle m’est venue comme un doux bonheur ; un cadeau ! J’ai voulu prendre sa place face à ces loups ; Jamais je n’aurai pu voir ma belle souffrir, Jamais ! L’amour, ils ne peuvent l’anéantir. »
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