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Lux


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24 oct à 10:33
  Publié: 17 jan 2012 à 19:50
Modifié:  18 jan 2012 à 16:38 par Lux
Citer vertical_align_bottom

Pire qu'un père ouvrier

Le souffle des mégots n'a rien d'autre à s'offrir que le bruit des passants et des colons qui tremblent
Le souffle des passants s'éparpille et soupire
entre deux coups de pied et quelques canettes vides
Et les ampoules nues
aussi nues que les pièges, aussi nues que les loups
- violentes cicatrices -
Et les ampoules nues libèrent un peu de peau
violentes cicatrices au-delà de nos chairs
semblant s'ouvrir un peu quand le pouls s'accélère.

*
Pendant que la mer baise


puisque les ombres sèchent
puisqu'à la fin du bal reviennent les putains, à moitié défroquées par la nuit qui s'emballe
puisqu'on oublie la peur quand elle dévore le sang
- ce sang mille fois plus douloureux qu'un seul coup de marteau sur le pied d'un enfant -
puisqu'on parle d'amour quand on poursuit le vide
puisqu'il faut bien se taire
j'enchaînerai les vagues à mes poignets trop blancs
j'apprendrai l'alphabet en gravant sur mon corps les lignes de vos mains
j'ouvrirai les colombes pour mieux voir le soleil
je ne tricherai pas.

*

le souffle de vos crimes fera enfler mes veines.

le souffle de vos crimes
envahit les usines
épuise les machines et abîme nos lèvres
le souffle de vos crimes
s'égare entre les plis d'une vieille dame affamée

la fin s'échappe
doucement, comme un petit avion
et le petit pilote se remplit doucement d'une eau presque salée - personne n'oubliera cet instant où basculent les hommes.

*

...

à la mer qui divague crachons nos algues mortes
à la mer qui s'enfuit ne nous retournons pas
à la mer balbutiante qui retient nos prières
passons sans faire de bruit
et les putains nous remercieront.

 
Marcel42


Le poète est un collectionneur de mots. Dans son album, chacun devient une fleur imaginaire.
   
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27 oct 2017 à 14:29
  Publié: 18 jan 2012 à 08:01 Citer vertical_align_bottom

Et confier aussi nos orages aux nuages, ils finiront bien par éclater sur une île dorée emportant avec eux l'opulence des lieux.
Cordialement,
Marcel.

  Marcel
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