Sous mes paupières cloisonnées seule la nuit vibre.
S'imaginer un lendemain possible hors du rêve
Et chaque matin ces morsures sous mes yeux Dégueulent ton empreinte sur l'inconscient. La trace encore tenace d'un sourire égaré Sillonne doucement sur mes joues.
Dire qu'il suffirait d'une caresse pour effacer ses mirages de douleurs Et je maudits le ridicule de mes mains qui s'arrêtent Aux confins des lèvres.
Est ce donc tout ce que tu as à m'offrir Cette larme qui se noie Dans la paume de ma main?
L'exil au coin des yeux masque la lueur Et du brouillard séparé de lui Au loin désormais il me faut imaginer La lune au delà des nues.
L'avenir au travers d'une larme Déguise l'univers.
chaque matin ces morsures sous mes yeux Dégueulent ton empreinte sur l'inconscient. La trace encore tenace d'un sourire égaré Sillonne doucement sur mes joues.
sublime ! merci de ces vers qui m'emporte dans cet inconscient
... et si je m'en vais avant toi, dis toi bien que je serai là, j'épouserai la pluie le vent, le soleil et les éléments pour te caresser tout le temps (Francoise Hardy) merci M-Paule (comme une brise bise de mes aimés sur ma joue)
merci pour ses mots... c'est vrai, je crois, que ce que j'écris a évolué... j'ai appris à aimer le jeu des double sens, et le bruit celui des mots qui ricochent. c'est en grande partie grpace aux lectures que j'ai faites ici, les tiennes comme celle de tant d'autres...
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