Quart de tour

Je suis le farfadet des arcs-en-ciel ternis
trèfle enflammé! … le tournis……………….
………… des rêves . .. . . . . un moment
…. . léthargie……… dernière passion


T’es vert-lime comme le ciel
Orangée comme un sol de fer

Chaque poème est une victoire
Impossible à décrire
Mords dans tes perles d’or
Je m'en fous si personne ne comprend
CE n'était pas UNE MALADIE
JE REFUSE

Reviens voir
J’ai laissé ta chambre en désordre

Le grand œil me parle d’insuffisance
Je vais perdre si tu ne reviens pas
Je vais acheter ce qu’il faut si tu ne reviens pas!

C'est vrai, je viens de faire une petite recherche et il semblerait qu'il soit plus utilisé au Québec. Je croyais vraiment que c'était plus répandu. J'avais fait un quatrain sur l'Irlande quand les éphémères l'ont survolé et je n'ai gardé que les mots clés. l'Irlande me fait penser à un vieil ami très rebelle, anarchiste à fond la caisse qui en parlait beaucoup. C'est sorti d'un moment de folie et j'ai laissé même les fautes de frappes pour ne rien retoucher. Le farfadet est bien sûr le fameux «Leprechaun» irlandais à la barbe rousse et au trèfle à 4 feuilles qui cache son chaudron rempli d'or au pied des arc-en-ciels.

Merci d'être passé, fausse belge!

En poésie, rien n'est faut et si ce qui est dit n'est pas encore arrivé, cela arrivera, ce n'est qu'une question de temps et " Je m'en fous si personne ne comprend " puisque ce n'est qu'un poème.
Cordialement,
Marcel.