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Lux


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24 oct à 10:33
  Publié: 14 avr 2009 à 15:11 Citer vertical_align_bottom





Je serai la ville
Parce que le dos de ma main n’a jamais caressé que de longs grillages
De longues plaines pelées
Mes jambes ont glissé le long de troncs d’arbres un peu râpeux
Les longues chutes, les danses accidentelles


Le carnaval, lui, ne cesse jamais
Il est venu lancer le premier coup de feu
Il a renversé le premier coucher de soleil
écrasé par les rayons, couché sous les roues du vélo
Le carnaval comme un incident
Les ballons rouges les ballons bleus les pauses silencieuses le cœur gros


Quand un enfant s’échappe, les ombres suivent sa course jusqu’à la fin
Elles ressentent tout
Les compressions douloureuses d’une épaule nue contre une autre épaule
Et si par malheur ce qu’il reste de moi caresse la masse brûlante des joueurs de flûte
Si par malheur je rencontre les contours fragiles d’un homme à l’abandon
Là où il avait des murs là où il y avait du pain, il n’y aura que des blessures
Les traces interrompues d’une ville à piller.

 
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