Je donnerais ma peau pour un feu de bois Je donnerais ma peau pour entendre le gling gling des mats du port de Sète sans autre mort de toutes façons, il n’existe pas d’autre mot il n'y en a pas d'AUTRE
une putain. c’est une putain qui chante sa misère une putain maladroite une sirène prise au piège une putain qui s’oublie dans la violence des ports de pêche
et l’histoire se répète,
c’est la poursuite du bonheur
Je donnerai ma peau pour un feu Je donnerai ma peau pour une peau pour une vraie peau sous la peau pour une peau sur la vraie peau pour une peau de sirène sous le gling gling des autres peaux dans la violence des ports de pêche dans la peur des peaux dans les peaux qui empêchent les peurs les peurs et les misères sous la peau des putains
et l’histoire se répète
sans revenir à la surface, jamais
c’est le bonheur de la poursuite pour une peau de femme entre deux bateaux de pêche le gling gling dans les pleurs puis l’homme qui se noie d’avoir touché et la peau et le cœur sans aucune certitude sinon celle d’être une épave parmi les autres épaves une douleur neuve parmi les cicatrices.
"c’est le bonheur de la poursuite pour une peau de femme entre deux bateaux de pêche le gling gling dans les pleurs puis l’homme qui se noie d’avoir touché et la peau et le cœur sans aucune certitude sinon celle d’être une épave parmi les autres épaves une douleur neuve parmi les cicatrices."
puissant...
Aller au superflu pour couper court à l'essentiel.
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