Tanné de la publicité? Devenez un membre privilège et dites adieu aux bannières!

LPDP - Page d'accueil
Compte privilège
Nouveau compte
Activer un compte
Oublié mot de passe?
Renvoyer code d'activation
Poèmes populaires
Hasards de l'équipe
Poèmes de l'année
Publier un poème
Liste détaillée des sections
Poème au hasard
Poème au hasard avancé
Publications
Règlements
Liste des membres
Fils RSS
Foire aux questions
Contactez-nous
À Propos
::Poèmes::
Poèmes d'amour
Poèmes tristes
Poèmes d'amitié
Poèmes loufoques
Autres poèmes
Poèmes collectifs
Acrostiches
Poèmes par thèmes
::Textes::
Nouvelles littéraires
Contes d'horreur
Textes érotiques
Contes fantastiques
Lettres ouvertes
Citations personnelles & Formes courtes
Textes d'opinion
Théâtre & Scénario
::Discussions::
Nouvelles
Portrait sous vers
Les parutions
De tout et de rien
Aide aux utilisateurs
Boîte à suggestions
Journal
Le coin de la technique
::Images::
Album photo

Membre : 1
Invités : 18
Invisible : 0
Total : 19
· Dukes
13275 membres inscrits

Montréal: 2 décembre 10:02:33
Paris: 2 décembre 16:02:33
::Sélection du thème::
Ciel d'automne
Lime trash
Soleil levant



LPDP :: Autres poèmes : :: Pourquoi les monstres dévorent nos enfants vertical_align_bottom arrow_forward_ios

Page : [1] :: Répondre
Lux


dites non au patron, mais oui à la voisine.
   
Statut: Hors ligne
Envoyez un message instantané à ce poète.
Statistiques de l'utilisateur
96 poèmes Liste
217 commentaires
Membre depuis
23 décembre 2008
Dernière connexion
24 oct à 10:33
  Publié: 19 avr 2009 à 08:19 Citer vertical_align_bottom

Chaque jour il y a un peu plus de pissenlits
Chaque jour il entre un peu plus de malades dans la pension de la tranquillité
Chaque jour les bêtes perdent de leur élégance
de leur chaleur
La peau devient une absence injustifiée et les couleurs disparaissent
place aux pages aux livres manquants
Le soleil est l'absence de tout
la mort de tous à nous

l'incroyable

et encore l'envie brûlante de naître d'une passion
chaque jour des os des dés des poèmes descendent de là-haut
priant pour que nous sortions enfin du monde
les hommes sont fâchés
les hommes femmes enfants d'abord les ours les pôles les pères les femmes sont fâchés
d'avoir permis un si grand désespoir
de constater que d'autres ont le visage blanc et pur et doux de la misère
pas eux
de ne pas voir pousser les fleurs
et pas eux

eux ils toussent
ils méprisent ils méritent ils chantent
la chanson du travailleur et du mort qui a travaillé et du mort pour rien
de tout

Chaque jour il y a plus

sous ma peau sous mes pieds
et dans quatre vingt ans
je ne pourrai plus me baisser

 
Lux


dites non au patron, mais oui à la voisine.
   
Statut: Hors ligne
Envoyez un message instantané à ce poète.
Statistiques de l'utilisateur
96 poèmes Liste
217 commentaires
Membre depuis
23 décembre 2008
Dernière connexion
24 oct à 10:33
  Publié: 20 avr 2009 à 11:31
Modifié:  20 avr 2009 à 11:32 par weendy95
Citer vertical_align_bottom

merci pierre
c'est chouette
je désespérais d'écrire, je sais pas


et merci de vos passages steph et elle

 
Page : [1] :: Répondre

 

 



Répondre
Version imprimable
Avertissement par courriel
Autres poèmes de cet auteur
Cocher cette section lue
Cocher toutes les sections lues
Visites: 806
Réponses: 1
Réponses uniques: 1
Listes: 0 - Voir

Page : [1]

Les membres qui ont aimé ce poème ont aussi aimé les poèmes suivants :



Nous n'avons pas assez de données pour vous afficher des recommandations. Aidez-nous en assignant une cote d'appréciation aux poèmes que vous consultez.

 

 
Cette page a été générée en [0,0305] secondes.
 © 2000 - 2023 VizFX.ca - Tous droits réservés  | Pour nous joindre
L'utilisation de ce site Web implique l'acceptation des Conditions d'utilisation. Tous les textes hébergés par La Passion des Poèmes sont protégés par les lois de la protection des droits d'auteurs ainsi que par des traités internationaux. Il est strictement interdit de distribuer, d'afficher ou d'utiliser ces textes de quelque manière sans l'autorisation de l'auteur du texte en question.

           
 
Oubliez votre mot de passe? Cliquez ici.