Tanné de la publicité? Devenez un membre privilège et dites adieu aux bannières!

LPDP - Page d'accueil
Compte privilège
Nouveau compte
Activer un compte
Oublié mot de passe?
Renvoyer code d'activation
Poèmes populaires
Hasards de l'équipe
Poèmes de l'année
Publier un poème
Liste détaillée des sections
Poème au hasard
Poème au hasard avancé
Publications
Règlements
Liste des membres
Fils RSS
Foire aux questions
Contactez-nous
À Propos
::Poèmes::
Poèmes d'amour
Poèmes tristes
Poèmes d'amitié
Poèmes loufoques
Autres poèmes
Poèmes collectifs
Acrostiches
Poèmes par thèmes
::Textes::
Nouvelles littéraires
Contes d'horreur
Textes érotiques
Contes fantastiques
Lettres ouvertes
Citations personnelles & Formes courtes
Textes d'opinion
Théâtre & Scénario
::Discussions::
Nouvelles
Portrait sous vers
Les parutions
De tout et de rien
Aide aux utilisateurs
Boîte à suggestions
Journal
Le coin de la technique
::Images::
Album photo

Membres : 2
Invités : 18
Invisible : 0
Total : 20
· MUSCADE · Orion38
13261 membres inscrits

Montréal: 4 octobre 06:52:55
Paris: 4 octobre 12:52:55
::Sélection du thème::
Ciel d'automne
Lime trash
Soleil levant









LPDP :: Autres poèmes :: Seuls vertical_align_bottom arrow_forward_ios

Page : [1] :: Répondre
ozner

Statut: Hors ligne
Envoyez un message instantané à ce poète.
Statistiques de l'utilisateur
43 poèmes Liste
469 commentaires
Membre depuis
18 juin 2008
Dernière connexion
26 mai à 22:26
  Publié: 4 déc 2010 à 15:22
Modifié:  4 déc 2010 à 15:40 par Tilou8897
Citer vertical_align_bottom

Je n’épouse que les mendiants
car peu m’importent leurs richesses -
rien n’appauvrit jamais ma solitude
cette vertu muette
que les aveugles, en défiant
leurs propres ombres, reconnaissent
comme leur sœur, leur froide certitude
leur joie de la défaite.

Vos paysages sont fuyants
et dévisagent mon désert
où je n’ai soif ni d’homme, ni de sève
où je tremble d’amour
où le sable s’enfouit, méfiant
sous le rideau glacé de mer
que vous avez créé pour que s’achève
l’enfin et l’alentour.

Je n’épouse que les mendiants
car peu leur importe les chants
rien n’appauvrit jamais
les lendemains, l’élan qui fait
dieu si petit dans sa lumière -
combien nous sommes grands … sans notre chair…

 
Elisa


« Le but est le chemin lui-même. Prenez plaisir maintenant. L'éternité est ici. » Nashti
   
Statut: Hors ligne
Envoyez un message instantané à ce poète.
Statistiques de l'utilisateur
112 poèmes Liste
1872 commentaires
Membre depuis
5 avril 2010
Dernière connexion
8 juil à 10:01
  Publié: 4 déc 2010 à 16:02 Citer vertical_align_bottom

Que dire de plus après une aussi belle éloge
Merci du partage
j'ai aimée ma lecture
Mes amitiés Elisa

  « Il ne faut pas avoir peur des vagues qui agitent votre âme. C'est ça, la vie. »
Marvejols

Statut: Hors ligne
Visitez le site web de ce poète. Envoyez un message instantané à ce poète.
Statistiques de l'utilisateur
34 poèmes Liste
52 commentaires
Membre depuis
18 octobre 2010
Dernière connexion
3 déc 2016 à 19:01
  Publié: 5 déc 2010 à 19:25 Citer vertical_align_bottom

Nous mène en agréable sensation d'étrangéité.

J'ai de plus beaucoup aimé :

Citation de ozner
que s’achève
l’enfin et l’alentour.



Marvejols

  Marvejols
Lilu

Statut: Hors ligne
Visitez le site web de ce poète. Envoyez un message instantané à ce poète.
Statistiques de l'utilisateur
101 poèmes Liste
631 commentaires
Membre depuis
27 juillet 2009
Dernière connexion
27 sept à 04:04
  Publié: 11 déc 2010 à 04:28 Citer vertical_align_bottom

C'est sans doute un peu con et certainement prétentieux de sortir ça mais bon.

Sans te connaître je dirais que je t'y vois vraiment ici et ce texte me fait penser à quelqu'un. Un monsieur qui marchait pour croiser des gens sans rien attendre puisque rien ne changerait mais qui en avait un besoin insatiable.

Pis ça me fait penser à la semaine dernière quand on a croisé Malik qui regardait sa télé en noir et blanc mais que les miss France c'était vraiment de la merde alors il a préféré prendre un verre avec les copains. Apparemment y avait que les verres puisqu'on a fait les oreilles.

Enfin bref après ce roman, juste merci et désolée pour l'étalage.


 
ozner

Statut: Hors ligne
Envoyez un message instantané à ce poète.
Statistiques de l'utilisateur
43 poèmes Liste
469 commentaires
Membre depuis
18 juin 2008
Dernière connexion
26 mai à 22:26
  Publié: 11 déc 2010 à 04:39
Modifié:  11 déc 2010 à 04:40 par ozner
Citer vertical_align_bottom

je suis vraiment content que ce texte ait su plaire.

merci à Lili, toujours pertinent...

merci à Marvejols ainsi qu'à Elisa.

Lilu: ne t'excuses pas! tu y as vu quelque chose, c'est un compliment, et ça m'a l'air, même si cela t'est personnel, de coller plus que parfaitement à ce texte. merci de "t'étaler"!

 
Page : [1] :: Répondre

 

 



Répondre
Version imprimable
Avertissement par courriel
Autres poèmes de cet auteur
Cocher cette section lue
Cocher toutes les sections lues
Visites: 1814
Réponses: 4
Réponses uniques: 4
Listes: 1 - Voir

Page : [1]

Les membres qui ont aimé ce poème ont aussi aimé les poèmes suivants :



Nous n'avons pas assez de données pour vous afficher des recommandations. Aidez-nous en assignant une cote d'appréciation aux poèmes que vous consultez.

 

 
Cette page a été générée en [0,0340] secondes.
 © 2000 - 2023 VizFX.ca - Tous droits réservés  | Pour nous joindre
L'utilisation de ce site Web implique l'acceptation des Conditions d'utilisation. Tous les textes hébergés par La Passion des Poèmes sont protégés par les lois de la protection des droits d'auteurs ainsi que par des traités internationaux. Il est strictement interdit de distribuer, d'afficher ou d'utiliser ces textes de quelque manière sans l'autorisation de l'auteur du texte en question.

           
 
Oubliez votre mot de passe? Cliquez ici.