Pourrai-je m'éteindre sans quelque lumière, Mon âme en boule au clou du bilboquet passer ? La pieuvre et la méduse hantaient déjà nos pères, Dans la nasse un monde que nous devons laisser.
Ce champ de blé coupé par les ciseaux de l'été Rend bien son air haché de maquis ras et fade; Il faut la nuit attendre afin d'y aller jeter Le mouchoir des regrets sous sa lune esplanade.
Oh! Dieu n'abrège pas tôt ma récréation... Que le temps après tant de vides et tremplins Me donne encore une chance, un joyeux refrain;
En posant ma guitare orpheline en faction, De la reprendre, féline, juste un doux brin, Pour enchanter la vie et pleurer son écrin.
Oh! Dieu n'abrège pas tôt ma récréation... Que le temps après tant de vides et tremplins Me donne encore une chance, un joyeux refrain.
En posant ma guitare orpheline en faction, De la reprendre encore un temps, juste un doux brin, Pour enchanter la vie et pleurer son écrin.
J'aime et je partage ta vision de la vie comme sensation d'être nous aussi createurs d'un brin de liens et d' hommages en forme d'art... Amitiés galatea
Bonsoir Galatea belga, Venu ajuster un peu les coutures je trouve ton commentaire intéressant et t'en remercie, Quelqu'un dit que les premiers enfants sont nos pensées. Quel univers! Bien à toi. verso
"Ce champ de blé coupé par les ciseaux de l'été Rend bien son air haché de maquis ras et fade; Il faut la nuit attendre afin d'y aller jeter Le mouchoir des regrets sous sa lune esplanade."
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