Il danse aux bras du vide et la douleur l’enlace Sur la piste du temps s’écroule un pas de deux, Le déluge fœtal agenouille sa trace Agglutine à l’espace un relent cafardeux.
Il danse et son aura salit la bleu cadence Un délit d’harmonie ouverte sur l’errant De son âme évidée à son cœur d’élégance Privé du tempo doux d’un vol itinérant.
Il danse sur l’absence et l’amour lui fait face, Ceint de mémoire bis il joue aux amoureux, Son corps craint le silence alors le jour s’efface En cruelle insomnie, en rêves douloureux.
Il danse, sans essence, il invite un factice Reflux de connivence en son cuisant désert L’oasis est en lui par la foi subreptice ; Un mensonge de plus né d’un élan disert.
Il danse…En vrai : Il sombre en son navire des sens ! Pour se sentir aimer d’illusion parfaite Le sablier vidé des grains à contresens Pour que sa transparence efface la défaite.
Quel beau poème bien triste ! Je sens cet homme bien seul dans sa vie. Je lui souhaite de trouver rapidement une cavalière pour l'accompagner dans la danse de la vie. Un coup de coeur ton poème
Amicalement.
Lis dans mes yeux, entre dans mon coeur, alors tu verras qui je suis.
Des mots qui dansent, dansent, sans s'arrêter ni s'essouffler... Qu'elle est belle et triste cette danse Et comme elle nous entraîne dans son sillage... Merci
Là où l'on brûle les livres on finira bien par brûler les hommes...
Les mots, tes mots sont là pour nous dire combien la danse exprime bien des solitudes, des incertitudes que l'on ne voit pas, tant elles semblent dissimulées...
Son corps craint le silence alors le jour s’efface
Merci Melinda, ta compassion m’enchante, cependant ce n’était qu’une réminiscence…
Pas si bien écrit que ça James, y’a quelques boulettes Merci
Elles sont les compagnes de beaucoup d’entre nous, Katia, on les connaît bien, c’est pour ça ! Merci
Je vois la colombe Je lis ton pseudo Et je ne peux m’empêcher d’avoir dans la tête : «J’ai dans les bottes des montagnes de questions… où subsiste encore ton écho »… Pardon d’être un peu à coté Et merci
Oups ! Mon Guido J’étais en train de répondre… Merci d’être là
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