Ce n'était rien de plus qu'un coma ordinaire Une f(eu)ille au milieu du pays des automnes Depuis je me méfie des chemisiers trop clairs Qui me rappellent tant ces vies qu'on déboutonnent Elle avait à son sein les marques de nos âges Quelques coups, du sang frais et l'amour de la pluie On se lasse de tout même d'aimer l'orage Même d'être jolie, jolie morte de nuit Mais ne la blâmez pas, elle était de son temps Rien de plus qu'un coma au pays des bouteilles Il faut toujours des corps pour exciter les gens Depuis j'en ai vu mille et mille autres pareils
A prendre au premier comme au second degré... Ca pourrait raconter une histoire particulière... Mais ça en raconte bien d'autres...
Ce sont les cinq ou six derniers vers qui me résonnent beaucoup. L'impression que j'aurais pu les écrire... forcément pas tout à fait comme ça et avec des nuances... Mais voilà...
Merci.
Elle me dit que mes guerres sont des fleurs fanées et qu'il reste une terre pour l'aimer ici bas
T'as vraiment une plume qui me plait bien, mec ... Tu n'as pas dû t'arrêter comme cela en chemin ... J'aurais plaisir à te lire si tu republiaies deux trois coups de plume de ces temps ci.
Amitiés de Mr B.
Si tu copy mes textes, je te casse la gueule ! ... Right, mec ?
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