Les saisons qui effleurent, Le plumage fourni d’un ciel d’Avril. Qui ternit le jour de la tiédeur, Des amours qui ressuscitent le printemps.
Le parfum coloré du feuillage, l’odorante saveur Des couleurs qui … meurent dans la salve, D’un deuil qui de son rouge écarlate Inonde mon nez, du triste arôme de la mort.
Cendres de mes larmes qui tombent … De mes yeux, coulent des flammes … De mes cheveux, siffle l’oraison … De mes mains, se lit l’obscur lendemain.
C’est un passager, peu lui importe, L’ombre de tes jours, la chance de tes pas, La poésie de ton histoire, là – bas où tu vas, C’est une maison, qui nous accueille au bout de la vie.
Très heureuse de te lire à nouveau Vers cassés ! Quel plaisir. J'aime tes mots, tes images qui nous conduisent vers ce chemin du bout de la vie, ce chemin qui nous attend, tous... Merci Vers cassés et à bientôt j'espère. Maman Luciole
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