Voici la fin du chapitre XI... Profitez-en bien... Sur les conseils d'un membre du site (qui se reconnaîtra j'en suis certaine), la suite arrivera dans... 6 mois !
Chapitre XI, Deuxième partie
Courbaturée, j’arrivai au château fatiguée. Ma séance avec Grégoire avait laissé des traces. Joséphine m’attendait sur le perron au moment de ma descente de voiture. - Bonjour Angie. - Bonjour Madame, je suis revenue dès que j’ai eu connaissance de votre appel. - Je suppose que tu devais être très occupée pour ne pas répondre… Je me contentai de sourire. Joséphine savait très bien avec qui j’avais passé ces derniers jours. - Comment vont mes victimes ? - Aucun changement. Laure attend et l’autre, et bien, elle est toujours aussi vindicative. L’autre ! Je réalisai soudain que je n’avais jamais entendu Joséphine prononcer le nom de sa fille. Curieux duo mère/fille ces deux-là ! - Je vais aller les saluer, histoire de voir. - Comme tu veux. Je pris la direction du donjon dans lequel Laure et la psy se trouvaient. En entrant dans la pièce, j’eus la satisfaction de les voir toutes les deux en cage. J’ouvris celle de Laure. - Salut vous deux ! - Le retour de la chienne ? QUENELIOU ! Fidèle à elle-même ! Je ne relevai même pas. - Sors de là Laure ! - Pitié. Un murmure. Je l’arrachai de force de sa prison. Elle sanglotait. - En voilà une façon de m’accueillir ! - Pardon. - Un peu tard ma chérie. Tu ne trouves pas ? Laure tremblait de tous ses membres. Incapable d’esquisser le moindre geste. Je la laissai tomber sur le sol avant de m’équiper d’un gode-ceinture sous les yeux effarés de QUENELIOU. - Tu ne vas pas lui faire ça ? Je fis volte-face pour regarder la psy. - Chérie, il me semblait te l’avoir déjà expliqué. Tout ce qu’elle va subir ici est entièrement de ta faute. Avisant une table, je forçai Laure à prendre appui dessus de façon à ce qu’elle se retrouve face à la psy. Je plantai mon regard dans celui de Sylvie en souriant. - Que le spectacle commence ! Les hurlements de Laure provoquèrent chez moi une sensation de jouissance immédiate pendant que la psy entamait sa descente en enfer.
Je me trouvai sur le perron en train de fumer. Après le viol de Laure, je l’avais laissée là où elle se trouvait, à terre et libre de tout mouvement. Je comptais bien sur QUENELIOU pour l’inciter à fuir. Cette perspective provoquait chez moi une excitation non négligeable. Malgré tout, je me sentais nostalgique. Laure s’était révélée une soumise des plus appréciables et mettre fin à ses jours me filait le cafard. J’avoue que j’aurais bien gardé cette môme à mon service. Mais bon, dommage pour elle, elle devait mourir. La nuit tombait. Un bruit discret me mit en alerte. Passant devant moi sans me voir, Laure tentait de quitter le château ! Excellent. Je la laissai faire quelques mètres avant de l’interpeller oralement. - Et bien, tu comptes aller où comme ça ? Elle se tétanisa sur place. - Il ne me semble pas t’avoir permis de quitter le donjon ! Terrifiée. C’est le mot juste. À cet instant, Laure venait de comprendre son erreur. Je m’approchai d’elle tranquillement. - Tu refuses de répondre ? - Pourquoi ? Quand même ! - Pourquoi ? Pourquoi quoi ma chérie ? - Je ne vous ai rien fait. Pourquoi me tuer… - Ça ? Demande à la pétasse qui est avec toi dans le donjon ! C’est à cause d’elle que tu es là. Brutalement, je l’attrapai par les cheveux avant de la traîner de force à l’intérieur pour la ramener au donjon. Ses cris m’amusaient. Une fois dans la pièce, je l’attachai sur une croix avant de saisir mon fouet. Je stoppai les coups dix minutes plus tard, le corps de Laure était en sang. Je m’approchai doucement pour lécher ses plaies avant de me retourner vers la psy. - Alors la pétasse, le spectacle te plaît ? - Tu es immonde ! Derrière moi, Laure gémissait doucement. - Attends au moins que je termine mon échauffement avant de dire ça ! - Laisse-la partir ! C’est entre toi et moi ! Sans répondre, je posai trois pinces métalliques sur le corps de Laure. Une sur chaque mamelon et la dernière sur son clitoris. Elle étaient toutes reliées à un boîtier par du fil électrique. Je pressai un bouton. Le corps de la pauvre fille se tendit sous l’effet de l’électricité. Ses hurlements me vrillèrent les tympans. Dans sa cage, QUENELIOU frappait aussi fort qu’elle le pouvait sur la porte pour pouvoir sortir et mettre fin au martyr de Laure. Peine perdue ! Je stoppai le courant avant de saisir deux autres fils électriques. QUENELIOU se taisait. Je les raccordai à la cage avant d’enclencher l’électricité. Le sol de la cage étant en bois, tant qu’elle ne toucherait pas les parois, la psy ne prendrait pas de décharge. En moins de deux minutes, je venais de la réduire à l’impuissance. Elle ne pourrait qu’assister à la mise à mort de Laure. Pour mon plus grand plaisir. Désentravant cette dernière, je la traînai sans ménagement devant la cage avant de me saisir de ma dague. Je lui entaillai le cou afin de pouvoir m’abreuver. Le plaisir s’invita immédiatement à la danse. Me mettant à genoux derrière elle, je fixais la psy tout en buvant. Elle enrageait. Sans cesser de m’abreuver à la plaie, j’éventrai Laure. Je refermai mes crocs sur sa chair au moment où l’orgasme me terrassait, aspirant goulûment le liquide tiède. Pas une parole, pas un cri. Juste l’horreur à l’état pur dans les yeux de QUENELIOU. Elle comprenait enfin ce que j’étais. Laissant choir le corps sans vie de Laure, je quittai la pièce sans un mot. Et pour la première fois, mon estomac se rappela à moi. Penchée au-dessus des toilettes, je vomissais mes tripes. Contre toute attente, je m’étais attachée bien plus que je ne le croyais à Laure. Et lui ôter la vie s’était révélé plus pénible que je ne l’aurais pensé. À l’abri des regards, je laissai mes larmes couler. J’aurais pu faire un putain de bout de route avec cette môme ! Certes, la réaction de l’autre pétasse m’avait fait plaisir mais j’aurais préféré l’obtenir d’une autre manière. Elle allait me payer ça !
De retour au donjon, je constatai sans surprise que quelqu’un avait fait le ménage. Plus aucune trace de Laure. J’en concluais que Sarah était passée. QUENELIOU était toujours dans sa cage. Souriante. - Et bien Angie, on a des remords ? De rage, j’envoyais un coup de pied dans la cage. Je le regrettai aussitôt. Je fus instantanément propulsée à terre. J’avais oublié le courant ! Voilà ce que c’est que de porter des pompes avec de la ferraille ! L’éclat de rire de l’autre pute acheva de me foutre en rogne. - Voyez-vous ça ! Prise à son propre jeu ! - Ta gueule ! - Tu en as mis du temps pour revenir… - Pressée de mourir ma chérie ? Je devais absolument me calmer sinon cette pute pourrait bien avoir le dessus ! J’oscillais entre la douleur liée à la mort de Laure et la haine que j’éprouvais envers la psy. Ou je parvenais à rétablir mon équilibre psychologique, ou je risquais fort de ne pas sortir indemne de cette confrontation. Je m’efforçai donc de retrouver mon calme. Sans y parvenir. De colère, je coupai le courant, attrapai un matraque électrique puis ouvris la cage. QUENELIOU resta immobile quelques instants avant de s’en extraire. Sans même lui donner le temps de se mettre debout, j’attaquai. Puissance de l’arme au maximum, je frappai sans relâche pendant plusieurs minutes. Malgré ses tentatives de fuite, la psy ne parvenait pas à échapper à ma folie. Elle finit par tomber à terre. Je continuai alors à m’acharner sur elle. Une fois mon calme revenu, je constatai que cette pute était inconsciente. J’en profitai pour la foutre à poil et l’entraver sur la croix. Des cris à l’extérieur me firent sortir du donjon. Je rejoignis rapidement la salle principale, pour y découvrir Joséphine hors d’elle. - Vous n’êtes que des incapables ! Les trois femmes qui lui faisaient face se trouvaient être des mentors. Parmi les meilleures ! Je m’avançais prudemment. - Pardonnez mon intrusion Madame. - Angie ! Nous avons un problème et il est de taille. - Puis-je savoir lequel Madame ? - Lucille a réussi à quitter le château. Là, on touchait le fond. Cette gosse savait suffisamment de choses sur nous pour être un véritable danger ambulant. - Souhaitez-vous que je parte à sa recherche Madame ? - Non ! Une équipe est déjà partie. Et tu as un travail à terminer ici. Sans appel ! - Madame, le stimulus ? - Il est actif. Elle ne devrait pas pouvoir parler de nous. - Normalement. Aucune arrogance dans ma voix, juste un brin d’inquiétude. - Lucille est sous contrôle Angie, tu peux retourner vaquer à tes occupations. Nous finirons par la retrouver. - Bien Madame. Je vais donc prendre congé. Sur le chemin me ramenant au donjon, je ne pouvais m’empêcher de penser qu’il devenait impératif de faire un peu de nettoyage dans nos rangs. Trop d’erreurs !
QUENELIOU avait repris conscience mais gardait le silence. Elle avait bien essayé de se libérer de ses entraves mais avait renoncé assez vite. - Eloise a passé sept jours dans le bunker de Nina. Sept jours de torture ! Tu ne disposes même plus de ce temps - Je ne suis pas encore morte ! Je m’avançai puis promenai mes mains sur son corps. Plutôt bien roulée la psy ! Je m’attardai sur ses seins, faisant rouler ses mamelons entre mes doigts. En dépit du dégoût que lui inspirait mes caresses, la psy entrouvrit la bouche. Le bout de ses seins durcissait. J’accentuai la pression exercée. Elle ne put s’empêcher de gémir. Cette salope aimait ça ! Tant mieux, cela me faciliterait la tâche. - Et c’est moi qui suis une chienne ! QUENELIOU me foudroya du regard. Sans même me préoccuper d’elle, je descendis une main sur son sexe déjà humide. Je la caressai, toujours sans violence. Elle se tortillait pour échapper à mes doigts. Peine perdue vu les entraves ! J’écartai les lèvres pour faire ressortir le clitoris. Je l’agaçai afin de le faire grossir au maximum. Il fallait que je réussisse à emmener cette pute aux limites de la jouissance. Elle ne résista pas longtemps à ce traitement. J’ai d’ailleurs toujours trouvé très étonnant que certaines victimes ressentent du plaisir sous l’effet de caresses imposées. Mais bon, dans son cas, cela m’arrangeait. J’observai ses réactions. Elle ne devait en aucun cas jouir ! Au moment où sa respiration s’accéléra, je me saisis d’un objet dans la poche de mon pantalon. D’un coup sec, je lui tranchai le clitoris à l’aide d’un scalpel, l’excisant. Ses hurlements de douleur me firent sourire. Je posai ma lame avant d’attraper du fil et une aiguille. Soucieuse de limiter l’hémorragie provoquée par mon geste, je recousus l’ouverture. Ce qui provoqua de nouveau les cris chez cette pute. Je reculai pour observer mon œuvre. QUENELIOU oscillait aux limites de la folie. - Tu ne croyais quand même pas que j’allais te faire jouir ! - Mais qu’est-ce que tu as fait ? - Je t’ai simplement privé de la faculté d’éprouver du plaisir. Et c’est loin d’être terminé… Je me repositionnai à ses côtés et entreprenai de faire de même avec ses mamelons. Le droit achevé, j’allai m’occuper du gauche quand une voix me stoppa net. - Angie ! Arrête !
et une question totalement dépourvue de sens m'a traversé l'esprit lorsque Angie boit du sang... mais et les mst? ... c'est débile oui..^^
j'ai pensé que Laure n'avait pas tant souffert ( quoi que niveau électrique Angie a fait pas mal... ) mais j'ai comme l'impression que... Laure n'a pas souffert comparé a ce qui peut attendre Queneliou...enfin jusqu'à ce qu'on interrompe....
Pour commencer, les réclamations concernant la mise en ligne de la suite sont à envoyer à..... qui m'a gentiment encouragée...
@ Kiki Banz : merci pour ton compliment. La suite... voir plus haut !
@ 4nel4 : merci de ton passage.
@ Lunabelle : dans ce cas ma Douce, j'attendrai 5 mois et 30 jours alors avant de poster ! Merci d'être là.
@ celiwen : je ne pense pas que ce "détail" empêche Angie de continuer ! Pas souffert Laure ? Mon dieu, Angie aurait-elle dépeind sur toi ? La suite...
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